Centrale nucléaire de Penly

Vue aérienne de la centrale nucléaire de Penly - © EDF/AeroFilm/M. Didier
Vue aérienne de la centrale nucléaire de Penly - © EDF/AeroFilm/M. Didier

Le site de Penly abrite la centrale nucléaire exploitée par EDF dans le département de la Seine-Maritime, à 15 km au nord-est de Dieppe.
Le site se trouve à une centaine de kilomètres de la Grande-Bretagne. Cette centrale nucléaire est constituée de 2 réacteurs à eau sous pression d'une puissance unitaire de 1300 MWe.
Le réacteur 1 constitue l'installation nucléaire de base (INB) n°136 et le réacteur 2 l'(INB) n°140.

Inspection de revue à Penly


Pendant une semaine en novembre 2022, l’ASN a mené une inspection de revue de la centrale nucléaire de Penly, au cours de laquelle ont été abordés des thèmes tels que le management de la sûreté, la conduite, la maintenance, le traitement des écarts et la modification des installations. Cette inspection, qui a mobilisé plus d’une dizaine d’inspecteurs de l’ASN, a permis de constater une organisation et une exploitation du site globalement performantes.

En bref

360

Lettres de suite d'inspection

13

Consultations du public

80

Avis d'incidents

195

Rêglementation

Vue aérienne de la centrale nucléaire de Penly - © EDF/AeroFilm/M. Didier
Vue aérienne de la centrale nucléaire de Penly - © EDF/AeroFilm/M. Didier

Avis d'incidents

80 avis d'incidents

Publié le 11/05/2017

Centrale nucléaire de Cattenom Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Anomalie affectant le système de surveillance de l’intégrité des combustibles

Le 12 avril 2017, EDF a déclaré un événement significatif pour la sûreté concernant les systèmes de surveillance (KRT) de l’intégrité des combustibles lors des opérations de chargement et de déchargement des centrales nucléaires de Cattenom, Flamanville, Nogent, Paluel et Penly. Le premier écart à l’origine de cette déclaration a été détecté sur la centrale nucléaire de Cattenom.

Publié le 08/05/2017

Centrale nucléaire de Cattenom Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Anomalie affectant le système de surveillance [...]

Le 12 avril 2017, EDF a déclaré un événement significatif pour la sûreté concernant les systèmes de surveillance (KRT) de l’intégrité des combustibles lors des opérations de chargement et de déchargement des centrales nucléaires de Cattenom, Flamanville, Nogent, Paluel et Penly. Le premier écart à l’origine de cette déclaration a été détecté sur la centrale nucléaire de Cattenom.

Publié le 16/02/2017

Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Risque de défaillance d’éléments importants pour la protection en cas de séisme

Mise à jour de l'avis d'incident du 15 juillet 2016. Le 7 juillet 2016, EDF a déclaré à l’ASN un événement significatif pour la sûreté concernant le risque de défaillance d’éléments importants pour la protection en cas de séisme, du fait de la défaillance possible d’autres matériels situés à proximité. Concernant initialement les réacteurs de 900 MWe et de 1300 MWe, cette déclaration a été étendue par EDF le 3 janvier 2017 aux réacteurs de 1450 MWe.

Publié le 14/07/2016

Centrale nucléaire de Golfech Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Risque de défaillance d’éléments importants pour la protection en cas de séisme

Le 7 juillet 2016, EDF a déclaré à l’ASN un événement significatif pour la sûreté concernant le risque de défaillance d’éléments importants pour la protection en cas de séisme, du fait de la défaillance possible d’autres matériels situés à proximité.

Publié le 08/06/2016

Centrale nucléaire de Penly Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Détection tardive d’un défaut d’adaptation de paramètres relatifs à la régulation de puissance

Le 25 mai 2016, EDF a déclaré à l’ASN un événement significatif relatif à la persistance pendant plusieurs mois, à la suite de défaillances organisationnelles répétées, d’un défaut de réglage des paramètres de contrôle de la puissance neutronique du cœur du réacteur n° 2, ce qui constitue un écart aux règles générales d’exploitation (RGE).

Publié le 01/06/2016

Centrale nucléaire de Penly Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Baisse de pression sous 24 bars relatifs avec 4 groupes motopompes primaires en service

Le réacteur n° 1 de la centrale nucléaire de Penly est en arrêt pour simple rechargement (ASR) pour maintenance et rechargement en combustible depuis le 16 avril 2016.
Le 24 mai 2016, EDF a déclaré à l’ASN un événement significatif relatif au passage de la pression primaire sous 24 bars relatifs avec les 4 groupes motopompes primaires (GMPP) en service, ce qui constitue un écart par rapport aux règles générales d’exploitation (RGE).

Publié le 18/01/2015

Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Anomalie générique : non tenue au séisme de certains robinets

Le 7 septembre 2009, EDF a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire un événement relatif à des écarts de serrage de la visserie de vannes qualifiées sur les centrales nucléaires de 1450 MWe. A la suite de vérifications menées sur les autres réacteurs, EDF avait mis à jour le 28 juin 2010 sa déclaration initiale en l’étendant aux réacteurs de 900 et 1300 MWe.

Publié le 18/12/2014

Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Risque d’indisponibilité du turbo-alternateur de secours

Le 17 décembre 2014, EDF a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un écart mettant en cause la capacité du turboalternateur de secours (LLS) des réacteurs nucléaires de 1300 et 1450 MWe à assurer sa mission après 24 heures de fonctionnement.

Publié le 08/10/2014

Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Anomalie générique : non tenue au séisme de certains robinets

Le 7 septembre 2009, EDF a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire un événement relatif à des écarts de serrage de la visserie de vannes qualifiées sur les centrales nucléaires de 1450 MWe. A la suite de vérifications menées sur les autres réacteurs, EDF avait mis à jour le 28 juin 2010 sa déclaration initiale en l’étendant aux réacteurs de 900 et 1300 MWe.

Publié le 18/09/2014

Centrale nucléaire de Penly Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Non-respect des règles générales d’exploitation (RGE) lors de la mise hors-tension ...

Le 11 septembre 2014, au cours de l’arrêt pour rechargement du réacteur 1, EDF a constaté le non-respect de mesures compensatoires prescrites par les RGE en cas de concomitance d’opérations de manutention de combustible et de maintenance de certaines armoires électriques alimentant la salle de commande.

Publié le 29/06/2014

Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Anomalie générique : non tenue au séisme de certains robinets.

Le 7 septembre 2009, EDF a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire un événement relatif à des écarts de serrage de la visserie de vannes qualifiées 1 sur les centrales nucléaires de 1450 MWe. A la suite de vérifications menées sur les autres réacteurs, EDF avait mis à jour le 28 juin 2010 sa déclaration initiale en l’étendant aux réacteurs de 900 et 1300 MWe.

Publié le 18/06/2014

Centrale nucléaire de Penly Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Non-respect des règles générales d’exploitation (RGE) lors de la conduite du réacteur n° 2

Le 11 juin 2014, des écarts de pilotage au cours d’une phase de redémarrage ont entraîné un non-respect des règles générales d’exploitation (RGE). Cette phase de redémarrage était consécutive à un arrêt de 2 jours décidé par EDF pour réparer une tuyauterie de vapeur d’eau, dans la partie non nucléaire de l’installation, en salle des machines.

Publié le 19/06/2013

Centrale nucléaire de Penly Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Rechargement en combustible avec une voie du circuit de refroidissement ....

Le 6 juin 2013, lors du rechargement en combustible du réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Penly, EDF a mis en évidence qu’une vanne du circuit de refroidissement du réacteur à l’arrêt (RRA) n’était pas dans sa position requise.

Publié le 15/04/2012

Centrale nucléaire de Penly Réacteurs de 1300 MWe - EDF

Arrêt automatique du réacteur n° 2 et fuites au joint n° 1 d’une pompe primaire

Le 5 avril 2012 à 12h12, un arrêt automatique du réacteur n° 2 se produit après l’arrêt de la pompe primaire n° 1 et l’apparition de plusieurs alarmes en salle de commande. A 18h00, alors que les opérateurs d’EDF suivent les consignes à appliquer en cas d’incident, une valeur anormalement élevée du débit de fuite collectée au joint n° 1 de cette pompe est identifiée. Cette situation conduit EDF à appliquer les procédures de conduite en cas d’incident pour amener le réacteur dans l’état dit « d’arrêt à froid ».