L'ASN avait mis, au mois de septembre 2000, le site de Dampierre sous surveillance renforcée pour une période de six mois. Cette décision était la conséquence d'une accumulation de dysfonctionnements révélateurs d'un manque de rigueur dans l'exploitation, ainsi que d'une dégradation des relations humaines et sociales, susceptibles d'avoir des conséquences sur la sûreté.