L’ASN a examiné, avec l’appui de l’IRSN, les éléments transmis par EDF pour justifier la résistance au séisme de la digue du canal de Donzère-Mondragon qui protège la centrale nucléaire du Tricastin. L’ASN considère que l’état de la digue, après les investigations et les réparations menées par EDF, permet le redémarrage des réacteurs d’EDF et a donné son accord pour le redémarrage des réacteurs 2, 3 et 4.