Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

Il est étonnant que l'ASN ait attendu si longtemps pour lancer cette consultation publique, alors qu'on sait depuis 2005 que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’est pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. Ce problème de malfaçons à la française ne touche pas seulement notre parc nucléaire national : aux Etats-Unis, la Commission de Contrôle du Nucléaire (Nuclear Regulatory Commission NRC), répondant à l'inquiétude des organisations Greenpeace et Beyond Nuclear, vient de communiquer le nom des 17 réacteurs étatsuniens dont certains composants majeurs ont été manufacturés par cette même usine Le Creusot Forge d’AREVA ! EDF et AREVA exportent leur crise...
Mais la santé des populations n'a pas à être sacrifiée à la santé financière du lobby nucléaire ! Ainsi la Charte de l’environnement, adoptée le 28 février 2005 par le Parlement : "Toute personne a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé".
La question de cette consultation ne se pose donc pas, et L'ASN doit assumer pleinement sa mission de contrôle du nucléaire pour interdire sans concession toute pièce ou procédé technique défectueux qui pourrait compromettre la santé des populations, non négociable. Nous n’avons pas à payer pour l'incompétence des apprentis sorciers d’EDF et AREVA.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
Cordialement

Comme l'écrit la CRIIRAD, L’affaire Creusot Forge a révélé des défaillances gravissimes dans le système de contrôle des activités nucléaires. Il est indispensable et prioritaire d’en rechercher les causes et de les traiter. Dans un tel contexte, il serait irresponsable d’autoriser la mise en service d’équipements critiques qui ne satisfont pas aux minima requis par la réglementation.

Il est nécessaire de ne pas se presser pour donner une autorisation à un matériel dont la sûreté n'est pas absolue. Il ne faut pas tenir compte de la pression financière ou commerciale, mais de la catastrophe que pourrait engendrer une défaillance lors de l'exploitation. Comme beaucoup de personnes, je n'ai pas envie de devenir un migrant.

Comme le dit la Criirad : La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

J'ai également apprécié un commentaire précédent, de "mecala" :
"La France est dans un sacré guêpier avec 58 réacteurs nucléaires sur lesquels, dorénavant, plane le doute sur la qualité de construction. La seule question qui vaille maintenant est de savoir comment s'en sortir le plus rapidement possible afin que la période grise dans laquelle nous entrons, et n'avons comme seul rempart que la prière qu'aucune défaillance majeure n'advienne, soit la plus brève possible. La chasse aux sorcières, aux responsabilités ne mènera nulle part. La solution est à rechercher avec la coopération de tous les acteurs pris individuellement, de celui qui porte les lingots d'acier au rouge en passant par le pilonneur, le contrôleur, le chef d'équipe, l'ingénieur, le cadre, le directeur, le contrôleur aréva, le contrôleur edf, le contrôleur asn, le décideur, voire le retraité qui se souvient. Tous ont la compétence et devront être mis en confiance afin d'aboutir au redressement indispensable de la situation. Ceux qui ont falsifié des procès verbaux de contrôles, peut être contre leur gré, pourront se décharger d'un poids énorme par une collaboration fructueuse au redressement. Le processus de détermination des normes est aussi à examiner. Une norme inaccessible à réalisation pratique à l'époque de son édition ne peut conduire qu'à des falsifications de pv de contrôle. Si son bien-fondé théorique est cependant incontestable, il faudra conclure à l'infaisabilité du projet et se résigner à l'abaissement de la prétention technologique convoitée. Le processus organisationnel est aussi à examiner en profondeur afin de mettre en évidence toutes les possibilités de dérives, les lacunes et les excès.
L'homme n'est pas un tardigrade ou une bactérie extrêmophile, il ne peut vivre que dans une plage étroite de conditions physiques qu'il est crucial de préserver pour notre survie et notre bonheur dans notre si petit pays qu'est la France à l'échelle du globe. Les errements ne sont pas jouables."
J'ajoute : le politique, qui souvent n'a pas de formation scientifique (les énarques sont plutôt des littéraires), ne doit pas forcer la réussite du nucléaire français à tout prix, à la "marche ou crève". Cette histoire plombe les finances du pays. On ne peut plus du tout faire confiance à Areva, qui a trop souvent menti et dissimulé la réalité.
Les installations qui fonctionnent actuellement avec des composants défectueux représentent un danger majeur, occulté jusqu'à présent par Areva et EDF , en connaissance de cause, puisqu'ils ont occultés ces dangers et ces défectuosité alors qu'ils les connaissent depuis l'origine (2005). Il est choquant que ce soit les mêmes Areva et EDF qui soient chargés par l'ASN de vérifier leurs équipements défectueux !!! Ils vont forcément les trouver bons puisqu'ils le prétendent depuis le début. Etre juge et partie ce n'est pas sérieux.

La sécurité des installations nucléaires doit être maximale et la règle d'or de l'ASN pour la sauvegarde des Français et de nos voisins. Or les installations qui fonctionnent actuellement avec des composants défectueux représentent un danger majeur, occulté jusqu'à présent par Areva et EDF , en connaissance de cause, puisqu'ils ont occultés ces dangers et ces défectuosité alors qu'ils les connaissent depuis l'origine (2005). Il est choquant que ce soit les mêmes Areva et EDF qui soient chargés par l'ASN de vérifier leurs équipements défectueux !!! Ils vont forcément les trouver bons puisqu'ils le prétendent depuis le début. Etre juge et partie ce n'est pas sérieux.
De plus les délais pour ces vérifications sont beaucoup trop longs et doivent être réduits. Que prévoit l'ASN pour éviter une catastrophe majeure pendant ces délais d'études complémentaires ???? La seule solution sûre serait d’arrêter toutes les installations concernées jusqu'à ce que les craintes liées aux malfaçons soient levées et pouvoir autoriser leur redémarrage. Et ces vérifications doivent être validées par un organisme neutre , indépendant et compétent pour être crédibles. N'attendons pas, n'attendez pas !! une catastrophe majeure comme Tchernobyl ou Fukushima pour prendre les mesures sévères qu'impose notre sécurité à tous. Et Areva et EDF ne doivent pas imposer leur puissance et leur position de force avec l'aide de l'Etat français pour nous mettre en péril. Le japon a pris des mesures drastique après la catastrophe de Fukushima : cela prouve que c'est possible, mais il faut le faire AVANT qu'il ne soit trop tard.
Les citoyens français ne doivent pas être les cobayes et les victimes des choix du tout nucléaire, à n'importe quel prix de l'état français et ces exécutants que sont Areva et EDF. Que l'ASN fasse le poids face à ce lobby pour nous protéger. Merci.
Ua ciutadana qui sap lo nuclear n'ei pas hèit entau planeta e entaus sons locataris.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

alors qu'on ne nous a jamais demandé de nous prononcer sur la construction des réacteurs nucléaires existants(bien au contraire),l'ASN doit être bien dans l'embarras pour nous demander notre avis sur l'autorisation ou non à donner à la mise en service de l'EPR en construction à Flamanville...
Les composants de l'acier ne respectant pas les exigences de sûreté,la question n'a pas à être posée.

L'ASN doit faire son travail en toute sérénité et dire NON à la mise en service de l'EPR.

L'altération de l'acier est avérée.

Pas de dérogation aux industriels.

Priorité à la sécurité.

alors qu'on ne nous a jamais demandé notre avis lors de la construction des réacteurs nucléaires(bien au contraire),il faut que l'ASN soit bien dans l'embarras pour nous demander notre avis sur l'autorisation ou non de la mise en service de la cuve de l'EPR en construction à Flammanville.
les composants de l'acier ne respectant pas les exigences de sécurité,la question ne doit même pas se poser.
L'ASN doit avoir le courage de dire NON à la mise en service de l'EPR.

L'altération de l'acier est avérée.

Pa

Revue des composants Creusot Forge
La France est dans un sacré guêpier avec 58 réacteurs nucléaires sur lesquels, dorénavant, plane le doute sur la qualité de construction. La seule question qui vaille maintenant est de savoir comment s'en sortir le plus rapidement possible afin que la période grise dans laquelle nous entrons, et n'avons comme seul rempart que la prière qu'aucune défaillance majeure n'advienne, soit la plus brève possible. La chasse aux sorcières, aux responsabilités ne mènera nulle part. La solution est à rechercher avec la coopération de tous les acteurs pris individuellement, de celui qui porte les lingots d'acier au rouge en passant par le pilonneur, le contrôleur, le chef d'équipe, l'ingénieur, le cadre, le directeur, le contrôleur aréva, le contrôleur edf, le contrôleur asn, le décideur, voire le retraité qui se souvient. Tous ont la compétence et devront être mis en confiance afin d'aboutir au redressement indispensable de la situation. Ceux qui ont falsifié des procès verbaux de contrôles, peut être contre leur gré, pourront se décharger d'un poids énorme par une collaboration fructueuse au redressement. Le processus de détermination des normes est aussi à examiner. Une norme inaccessible à réalisation pratique à l'époque de son édition ne peut conduire qu'à des falsifications de pv de contrôle. Si son bien-fondé théorique est cependant incontestable, il faudra conclure à l'infaisabilité du projet et se résigner à l'abaissement de la prétention technologique convoitée. Le processus organisationnel est aussi à examiner en profondeur afin de mettre en évidence toutes les possibilités de dérives, les lacunes et les excès.
L'homme n'est pas un tardigrade ou une bactérie extrêmophile, il ne peut vivre que dans une plage étroite de conditions physiques qu'il est crucial de préserver pour notre survie et notre bonheur dans notre si petit pays qu'est la France à l'échelle du globe. Les errements ne sont pas jouables.

La sécurité des installations nucléaires doit être maximale et la règle d'or de l'ASN pour la sauvegarde des Français et de nos voisins. Or les installations qui fonctionnent actuellement avec des composants défectueux représentent un danger majeur, occulté jusqu'à présent par Areva et EDF , en connaissance de cause, puisqu'ils ont occultés ces dangers et ces défectuosité alors qu'ils les connaissent depuis l'origine (2005). Il est choquant que ce soit les mêmes Areva et EDF qui soient chargés par l'ASN de vérifier leurs équipements défectueux !!! Ils vont forcément les trouver bons puisqu'ils le prétendent depuis le début. Etre juge et partie ce n'est pas sérieux.
De plus les délais pour ces vérifications sont beaucoup trop longs et doivent être réduits. Que prévoit l'ASN pour éviter une catastrophe majeure pendant ces délais d'études complémentaires ???? La seule solution sûre serait d’arrêter toutes les installations concernées jusqu'à ce que les craintes liées aux malfaçons soient levées et pouvoir autoriser leur redémarrage. Et ces vérifications doivent être validées par un organisme neutre , indépendant et compétent pour être crédibles. N'attendons pas, n'attendez pas !! une catastrophe majeure comme Tchernobyl ou Fukushima pour prendre les mesures sévères qu'impose notre sécurité à tous. Et Areva et EDF ne doivent pas imposer leur puissance et leur position de force avec l'aide de l'Etat français pour nous mettre en péril. Le japon a pris des mesures drastique après la catastrophe de Fukushima : cela prouve que c'est possible, mais il faut le faire AVANT qu'il ne soit trop tard.
Les citoyens français ne doivent pas être les cobayes et les victimes des choix du tout nucléaire, à n'importe quel prix de l'état français et ces exécutants que sont Areva et EDF. Que l'ASN fasse le poids face à ce lobby pou nous protéger. Merci.
Un citoyen qui vit dans la crainte de la future catastrophe nucléaire française.

La sécurité des installations nucléaires doit être maximale et la règle d'or de l'ASN pour la sauvegarde des Français et de nos voisins. Or les installations qui fonctionnent actuellement avec des composants défectueux représentent un danger majeur, occulté jusqu'à présent par Areva et EDF , en connaissance de cause, puisqu'ils ont occultés ces dangers et ces défectuosité alors qu'ils les connaissent depuis l'origine (2005). Il est choquant que ce soit les mêmes Areva et EDF qui soient chargés par l'ASN de vérifier leurs équipements défectueux !!! Ils vont forcément les trouver bons puisqu'ils le prétendent depuis le début. Etre juge et partie ce n'est pas sérieux.
De plus les délais pour ces vérifications sont beaucoup trop longs et doivent être réduits. Que prévoit l'ASN pour éviter une catastrophe majeure pendant ces délais d'études complémentaires ???? La seule solution sûre serait d’arrêter toutes les installations concernées jusqu'à ce que les craintes liées aux malfaçons soient levées et pouvoir autoriser leur redémarrage. Et ces vérifications doivent être validées par un organisme neutre , indépendant et compétent pour être crédibles. N'attendons pas, n'attendez pas !! une catastrophe majeure comme Tchernobyl ou Fukushima pour prendre les mesures sévères qu'impose notre sécurité à tous. Et Areva et EDF ne doivent pas imposer leur puissance et leur position de force avec l'aide de l'Etat français pour nous mettre en péril. Le japon a pris des mesures drastique après la catastrophe de Fukushima : cela prouve que c'est possible, mais il faut le faire AVANT qu'il ne soit trop tard.
Les citoyens français ne doivent pas être les cobayes et les victimes des choix du tout nucléaire, à n'importe quel prix de l'état français et ces exécutants que sont Areva et EDF. Que l'ASN fasse le poids face à ce lobby pou nous protéger. Merci.
Un citoyen qui vit dans la crainte de la future catastrophe nucléaire française.

La sécurité des installations nucléaires doit être maximale et la règle d'or de l'ASN pour la sauvegarde des Français et de nos voisins. Or les installations qui fonctionnent actuellement avec des composants défectueux représentent un danger majeur, occulté jusqu'à présent par Areva et EDF , en connaissance de cause, puisqu'ils ont occultés ces dangers et ces défectuosité alors qu'ils les connaissent depuis l'origine (2005). Il est choquant que ce soit les mêmes Areva et EDF qui soient chargés par l'ASN de vérifier leurs équipements défectueux !!! Ils vont forcément les trouver bons puisqu'ils le prétendent depuis le début. Etre juge et partie ce n'est pas sérieux.
De plus les délais pour ces vérifications sont beaucoup trop longs et doivent être réduits. Que prévoit l'ASN pour éviter une catastrophe majeure pendant ces délais d'études complémentaires ???? La seule solution sûre serait d’arrêter toutes les installations concernées jusqu'à ce que les craintes liées aux malfaçons soient levées et pouvoir autoriser leur redémarrage. Et ces vérifications doivent être validées par un organisme neutre , indépendant et compétent pour être crédibles. N'attendons pas, n'attendez pas !! une catastrophe majeure comme Tchernobyl ou Fukushima pour prendre les mesures sévères qu'impose notre sécurité à tous. Et Areva et EDF ne doivent pas imposer leur puissance et leur position de force avec l'aide de l'Etat français pour nous mettre en péril. Le japon a pris des mesures drastique après la catastrophe de Fukushima : cela prouve que c'est possible, mais il faut le faire AVANT qu'il ne soit trop tard.
Les citoyens français ne doivent pas être les cobayes et les victimes des choix du tout nucléaire, à n'importe quel prix de l'état français et ces exécutants que sont Areva et EDF. Que l'ASN fasse le poids face à ce lobby pou nous protéger. Merci.
Un citoyen qui vit dans la crainte de la future catastrophe nucléaire française.