Projet de position de l’ASN relative aux orientations génériques du réexamen périodique de sûreté associé aux quatrièmes visites décennales des réacteurs de 900 MWe

C'est devenu un lieu commun de dire que les centrales ont une durée de vie limitée ..... personne n'a dit que ça devait être 20 ans .... et en tous cas il est abusif de dire qu'elles sont "vieilles" alors qu'elles ont été exploitées et entretenues de la meilleure façon.

Dans les années 60 étant donné les connaissances métallurgiques de l'époque on pensait que l'acier des cuves serait fragilisé par le rayonnement des neutrons à une vitesse qui avait été largement surestimée. Les mesures et les contrôles ont montré qu'il n'en était rien et que la fragilisation interviendrait ..... dans longtemps. C'est la raison pour laquelle on peut envisager des durées de vie longues de 40 à 50 ans ; les américains en sont à envisager les 60 à 80 ans. En fait ce qui fera la durée de vie des centrales actuelles ce sera le moment où la maintenance et les améliorations deviendront trop coûteuses par rapport à la construction d'une centrale neuve. Ce n'est encore pas le cas si on considère le coût de construction d'un EPR ..... et encore moins si on devait remplacer un réacteur par des énergies renouvelables aux coûts exorbitants et au rendement très aléatoire.

Ne nous laissons pas impressionner par les millions que doit dépenser en ce moment EDF pour le grand carénage ..... ces millions investis maintenant seront vite amortis par la production électrique qui s'en suivra. De plus tous ces travaux procurent beaucoup d'emplois qualifiés.

Quand aux déchets produits il est préférable pour la planète de les stocker sous contrôle strict plutôt que de faire comme les énergies fossiles qui rejètent impunément depuis des décenies du CO2 dans l'atmosphère avec les conséquences sur le réchauffement climatique et les catastrophes qui vont survenir à brève échéance.

Au vu des enjeux climatiques actuels seuls le nucléaire, l'hydraulique et le gaz sont acceptables pour produire les quantités d'éléctricité dont on a besoin - malheureusement les autres ENR (éolien et solaire) ne sont pas et ne seront pas à la hauteur des besoins .... surtout si on pense qu'en France on n'a pas beaucoup de vent par rapport à d'autres pays comme l'Espagne ou l'Allemagne qui ont des déserts ou des steppes immenses ventées en permanence.

Bien entendu dans le processus de durée de vie à 40 ans et plus il faut faire confiance à la compétence et l'intransigeance de l'ASN pour contrôler que les standards de sûreté sont toujours maintenus et qu'on ne fait preuve d'aucune complaisance. C'est le caractère d'indépendance et de non revocation du chef de l'ASN qui nous le garantit. (loi nucléaire de 2006)

Va t'on vers l'éternité de nos vieux réacteurs nucléaires ?
> Après une série de prolongation jusqu'à 40 ans (initialement la durée prévue était de 20 puis 30 ans puis 40 ans), voilà qu'EDF veut une prolongation de 40 ans + 20 ans soit jusqu'à plus de 60 ans de durée de vie.
> L'heure est grave pour l'ASN, car accepter une telle prolongation, c'est aussi prendre la responsabilité de l'accident qui ne manquera pas de se produire en France et qui, comme à Tchernobyl et Fukushima, anéantira un vaste territoire qui deviendra inhabitable pour au moins une centaine d'année.
> Certes l'ASN demande plus de sécurité, mais il faut bien être conscient que les règles de sécurité sont régulièrement bafouée par EDF, car elles sont contraignantes et source de perte de rentabilité pour l'entreprise.
> On voit bien à la lecture des documents de la consultation qu'il y a encore des problèmes sur ce respect des règles. Ainsi dans l'avis IRSN n° 2015-00098, il est écrit "Tout d'abord, l'IRSN relève que malgré ces processus, des constats voire des écarts portant sur la conformité des installations sont régulièrement détectés de manière fortuite.". Ceci continuera malgré les nouvelles règles qui auront pu être définies pour la quatrième visite décennale (VD4), car c'est humain et une série d'incidents mal gérés pourra nous conduire à l'accident grave (pas besoin d'un tsunami ou autre agression externe). Les installations vieillissantes seront encore plus sensibles, car :
> -    comment garantir la fiabilité d'une cuve de réacteur qu'on ne peut changer et qui est soumise à des irradiations très importantes ?
> -    comment garantir la bonne résistance d'une enceinte de confinement dont le béton se fragilise avec le temps ?
> On veut nous faire croire qu'on a les solutions miracles, mais pourquoi a-t'on déjà remplacé tous les couvercles des cuves des réacteurs de 900 MW ? Ils étaient fragilisés et présentaient des défauts, mais pas les cuves !
> Quant aux enceintes de confinement, celle du réacteur de Bugey 5 est anormalement fuyarde et, pour le moment, le réacteur est arrêté car ne respectant plus les critères de sûreté, jusqu'à une éventuelle réparation miracle.
> On ne fait pas du neuf avec du vieux et on veut nous faire croire que ces réacteurs vont pouvoir répondre aux règles de sûreté d'un EPR conçu 25 ans plus tard (et qui peine à être construit aussi bien en Finlande qu'en France). On veut aussi qu'ils respectent toutes préconisations résultant de l'accident de Fukushima, alors qu'on est déjà 5 ans après l'accident et que les plus importantes ne sont pas encore réalisées, c'est à dire qu'on fait fonctionner des réacteurs qui ne sont pas sûrs.
> D'ores et déjà, on sait que les réacteurs de 900 MW ne pourront rendre sûr leur piscine de stockage des combustibles irradiés, cette installation restant très sensible aussi bien à une agression interne qu'à une agression externe. Une solution proposée serait de construire une piscine centrale pour diminuer la masse de combustible stocké par réacteur, mais il y en aura toujours un peu et on va accroître les flux de transports très dangereux. La meilleure solution est sans doute d'arrêter au plus vite ces réacteurs, qui ne pourront jamais être sûrs comme souhaité.
> Dans ce contexte, l'ASN a raison d'être exigeante et on voit, à la lecture (rapide) de l'annexe à la lettre de positionnement, qu'il y a de nombreuses insuffisances de la part d'EDF. Pourra-t'elle les satisfaire toutes, ou y aura-t'il négociation pour déroger au cas par cas pour certains réacteurs ? Et si EDF respecte tout, le coût ne sera t'il pas très élevé, d'autant que la Cour des comptes vient déjà d'annoncer au moins 100 milliards d'euros (valeur 2013) contre 56,4 dans la bouche d'EDF.
> C'est bien le risque avec les phrases du type :
> -    "limiter les conséquences à un niveau acceptable",
> -    "aussi faible que raisonnablement possible",
> -    "des méthodes «réalistes» ou «optimisées» pourront être utilisées",
> de voir les contraintes économiques l'emporter sur les exigences de sûreté.
> Ces phrases sont à exclure. Quant au contexte économique, il n'est pas favorable à la sûreté car EDF est déjà en très mauvaise situation financière (éviction du CAC 40, endettement très élevé, achat forcé d'une partie d'AREVA, ...) et le contexte énergétique n'est plus favorable à l'énergie nucléaire, celle-ci devenant plus coûteuse qu'une bonne partie des énergies renouvelables. Le seul espoir pour ne pas trop augmenter le coût du kWh électrique était justement de prolonger la durée de vie des anciens réacteurs nucléaires, mais rien n'est moins sûr, car le doublement du coût annoncé par la Cour des comptes, ainsi que les dépenses insuffisamment considérées pour le démantèlement des réacteurs nucléaires et pour la gestion à long terme des déchets radioactifs, vont faire perdre le peu de compétitivité restant à cette énergie face au solaire photovoltaïque, à l'éolien terrestre, etc..
> Inutile donc de vouloir prolonger ces vieux réacteurs à plus de 40 ans. Il faut vite tourner la page de l'énergie nucléaire avant que l'accident grave arrive. Une autre politique énergétique est possible pour la France sans cette menace et aussi sa pollution radioactive insidieuse liée aux rejets réguliers de liquides et gaz radioactifs.
> Mais la politique énergétique n'est pas du ressort de l'ASN, alors qu'elle soit très exigeante vis à vis d'EDF pour que ça coûte très cher et que les 4ème visites décennales, si elles  doivent avoir lieu, le soit à 10 ans et pas à 11 ou 12 ans comme c'est souvent le cas.
> Malgré tout si un accident arrive, l'ASN aura sa part de responsabilité

Non au nucleaire viellissant!

NON AU NUCLEAIRE!

Pour une alternative d'énergie ne compromettant pas la planete , déchets nucléaires dont on  ne sait que faire , qu'on  cache dans le sol , que l'on donne aux autres génèrations , ah mais quel cadeau!-"Tiens mon fils , pour noel , voilà dix kg de déchets nucléaires (qui se rajoutent aux autres types de déchets) ...., fais en bon usage et sois heureux, Bon vent!..."

Non aux mensonges ! Oui à la vie sans nucléaire!

<span id="yui_3_16_0_1_1455653287605_2687" style="line-height: normal; color: #351c75; font-family: georgia,serif;"><em id="yui_3_16_0_1_1455653287605_2686" style="line-height: 20.8267px;"><strong>Terrienne</strong>, citoyenne et<strong> contribuable</strong>*, je refuse </em></span><em id="yui_3_16_0_1_1455653287605_2674" style="line-height: 20.8267px; color: #351c75; font-family: georgia, serif; font-size: 11pt;">la prolongation de ces vieux réacteurs à plus de 40 ans et souhaite ardemment </em>

<em id="yui_3_16_0_1_1455653287605_2678" style="line-height: 20.8267px; color: #351c75; font-family: georgia, serif; font-size: 11pt;">l'arrêt immédiat de TOUTES les centrales nucléaires, par souci de <strong>responsabilité scientifique et technologique</strong> à assumer par les payeu-r-se-s (in fine contri(ts)buables). Ma <strong>confiance dans les ingénieurs</strong> a pris du plomb dans l'aile quand j'ai constaté que certain-e-s chargés d'étudier la faisabilité de projets au moindre coût, s'ils savaient maîtriser en partie les outils financiers, n'arrivaient pas/plus à se souvenir  de notions de base de la physique-chimie enseignées au niveau des Bacs scientifiques... et qu'ielles s'étaient consciemment résigné-e-s à l'idée de ne pas travailler pour la sécurité maximum mais pour assurer la profitabilité du système.Les <strong>travailleurs sous-traitants malades ou décédés ne sont pas tous si radieux</strong> que certain-e-s le prétendent ! Et la ruine du "peuple", c'est quand surviennent les accidents ou un démantèlement trop tardif  et que les bénéfices (voire les  "optimisations fiscales") n'ont pas été réinvestis à temps pour en prévoir et assumer les coûts !Oui à une<strong> gestion de l'existant respectueuse de la santé de tou-te-s ici ou ailleurs</strong>, ne reculons pas les échéances vitales : nos vies valent mieux que les profits de quelques décideurs abrité-e-s rigides dans leur vision du monde étriquée !</em>*ça n'empêche pas d'être aussi pragmatique et cartésien-ne ! mais surtout humain-e parmi des milliards avant et après nous. Le "gâchis technologique et financier" actuel est prouvé par la "réussite des chantiers d'AREVA-EDF en France et à l'étranger et l'exploitation est un <strong>gâchis pour la santé des sous-traitants</strong> (de sous-$ou$-traitant$).en outre "le" peuple francais profite(ra) aussi des failles de ces "joyaux de la nation francaise" - ayez la poésie que vous pouvez, ch€r$ technocrat€$ !Je témoigne de la souffrance physique et morale de proches atteint-e-s l'une par les retombées directes de Tchernobyl par-dessus la frontière polonaise, l'autre malgré son équipement de protection, par les retombées directes de nos essais dans le Sahara - ne croyez pas que <em>"ça n'arrive qu'aux autres"</em> qui ont des technologies différentes, l'erreur et la négligence voire l'ignorance sont tout à fait humaines et universelles : suffisance n'est pas intelligence !

Les centrales 900MW ont été construites il y a plus de 30ans, ont fait l'objet d'une maintenance courante de haut niveau et ont intégré les meilleures pratiques industrielles internationales :

Rien ne peut justifier aujourd'hui de fermer ces installations industrielles dont les investissements sont totalement amortis.

Le niveau de sûreté n'a jamais cessé de progresser dans ces installations et le nucléaire est une filière d'excellence en France !

Si on fermait ces installations, faudrait-il aussi condamner toutes les autres industries classées Seveso et pousser au chomage tous ceux qui y travaillent ?

Il faut raison garder et ne pas jouer les Cassandre : J'ai confiance dans l'ASN et son indépendance pour prendre les bonnes décisions, et définir au cas par cas, après une examen approfondi, quelle centrale nucléaire est apte à poursuivre son exploitation et quelle centrale nucléaire ne l'est pas.

On ne peut pas investir à la fois dans le nucléaire et dans les renouvelables tant le nucléaire dévore tout.

Arrêtons donc cette ineptie.

Profitons de ce que les réacteurs dépassent en masse les 30 ans en France pour les arrêter.

Allons vers les renouvelables. La dynamique d'investissement mondiale est là. Le nucléaire est en panne.

N'ayons pas peur d'avoir davantage recours au parc thermique fossile transitoirement. Car la lutte contre les gaz à effet de serre doit aussi se mener dans les transports (moins vite, moins loin, moins souvent, dans des véhicules plus sobres avec des hydrocarbures plus légers et du biométhane), le chauffage (le bois, le solaire thermique, etc. pour remplacer aussi bien le fioul que le chauffage électrique; ainsi que l'isolation, remplaçons la RT Existant par le niveau BBC Rénovation) et sur les gaz à effet de serre non énergétiques de l'agriculture-alimentation (CH4, N2O, stockage de carbone dans la forêt et grâce au non-labour, végétarisme). Le nucléaire ne sauvera pas le climat!

Le Japon va sans doute sortir du nucléaire. Nous devons aussi le faire mais sans attendre la catastrophe.

Les Etats Unis permettent à leurs réacteurs d'aller jusqu'à 60 ans mais eux comptent à partir du premier béton, nous comptons en France à partir de la mise en service: 7 ans de décalage en général sur les réacteurs existants. Surtout, des réacteurs ainsi autorisés de fonctionner ont quand même été arrêtés par leurs exploitants aux Etats Unis.

Le "grand carénage" d'EDF, malgré son coût astronomique, n'est qu'un rafistolage car les cuves ne seront pas concernées car pas réparables. L'état de ces cuves détermine la durée de vie de ces réacteurs. Qui peut croire et faire croire qu'on peut faire fonctionner indéfiniment du matériel soumis à pression, température et radioactivité élevées?

L'industrie nucléaire est une chaîne d'irresponsabilité. Pas d'assurance. L'exploitant, l'Etat et des organismes divers et variés, dont l'ASN, se refilent la "patate chaude" de la responsabilité de faire fonctionner des réacteurs, par exemple en ce moment sur la cuve de l'EPR de Flamanville. Ce réacteur ne doit pas être mis en service. 10,5 milliards qui seraient ainsi perdus par EDF, ce n'est rien par rapport aux dommages incommensurables d'une catastrophe.

Si rien ne change, qui risque de "payer" encore pour ces crimes et ces erreurs?

Passer à Enercoop (www.enercoop.fr) pour ne plus financer la SA EDF et consorts est un très bon début.

Aux USA un grand nombre de centrales nucléaires de même technologie que les tranches françaises concernées, ont reçu l'autorisation de fonctionner au delà de quarante ans. L'Autorité de sûreté américaine a jugé recevable les demandes de prolongation d'exploitation. Cette Autorité de sûreté est considérée comme tout à fait respectable et responsable. Il ne semble pas y avoir de raisons objectives pour qu'il n'en soit pas de même en France.

Il serait dommageable pour l'économie française que, pour des considérations idéologiques, l'exploitation des tranches françaises ne puisse être prolongée dès lors que les conditions de sûreté sont assurées à l'instar de la situation américaine. Ces tranches représentent un atout pour le pays et lui garantissent une certaine indépendance énergétique.

A ce jour, je ne vois pas comment la France pourrait faire concorder le niveau de consommation des Français avec d'autres outils de production que l'énergie nucléaire, tout en respectant les rejets de CO2

Tendre vers une énergie de source diversifiée est certainement le bon équilibre mais ce choix , c'était il y a vingt ans qu'il fallait le faire: les 40 ans des centrales c'est pour très bientôt ...

Les exploitants d'EDF, les ingénieries d'Areva et l'Autorité de Sureté démontrent au quotidien leur capacité à maintenir un haut niveau de production à un niveau de sureté toujours maitrisée.

Je leur fais donc confiance pour prolonger ensemble la production nucléaire

Il faut absbolument avoir une approche pragmatique et non dogmatique pour juger de l'opportunité de prolonger les réacteurs au-delà des 40 années de fonctionnement. D'autres pays prolongent des récteurs identiques aux notres jusqu'à 60 voir 80 ans! Pourquoi se priver d'une production électrique de masse quasi décarbonée, sûre et à un prix abordable ? Il est évident que la sureté doit être la priorité des critères qui doivent prévaloir pour décider la prolongation.

Toutes les énergies ont un coût et prolonger les réacteurs existants en attendant de développer de nouvelles générations de réacteurs, avec encore plus de sûreté et moins de déchets, est la solution la plus raisonnable et la plus responsable.

CB

Je prends connaissance ce jour de cette consultation assez confidentielle. Je demande donc plus de communication via les chaines et presses nationales

Je n'ai bien évidemment pas le temps nécessaire de lire tous les documents

Si cette consultation concerne une décision de prolonger la vie de réacteur nucléaire au delà des échéances normales. Je souhaite que la solution alternative énergie renouvelable soit étudiée technico-économiquement (en intégrant le coût d'élimination des déchets produits - analyse ACV) pour avoir la possibilité d'un vrai choix.

Merci par avance

LLS

La décision de réduire la dépendance énergétique de la France par le développement d'une filière nucléaire a été prise par le Général de Gaulle il y a plus de 40 ans et concrétisée par l'installation du parc de centrales dont nous disposons aujourd'hui .

Les objectifs sont atteints et au delà puisque nous bénéficions en plus d'un accès à l'énergie electrique compétitive ce qui est favorable à l'économie .

Cela étant , il restera à gérer les produits radioactfs générés et cela pendant longtemps .

Factuellement , la grande majorité des produits qui seront à retraiter sont déjà là !  95 , 99% ?

L'exploitation des centrales , et leur prolongation sous contrôle , produit très peu de déchets supplémentaires et pas de risque nouveau .

Profitons d'une industrie dynamique et performante , et marginalement sans risque , pour gérer efficacement les problèmes de retraitement des déchets que nous avons .

Je ne comprends pas l'entêtement psychopathique de l'état à vouloir maintenir une énergie qui coûte à notre pays ses ressources, ses vies et son âme.
Aussi je comparerais volontiers la gestion de l'état à celle des ménages surendettés, ce qui m'amène à conclure que les cas sociaux de l'ENA ou d'HEC ne devraient plus figurer parmi les têtes "pensantes" qui nous gouvernent.

Prendre une décision aussi stupide, sous prétexte qu'on n'a pas les fonds pour démanteler, relève de l'incompétence manifeste : dépenser moins aujourd'hui pour payer au centuple dans 2 ans.

De plus, en matière d'éthique, vous vous rendez coupable de la veulerie la plus manifeste, enrobée d'un nuage vaporeux d'inhumanité flagrante. Sans dent, sans gonade.

Aussi ne soyez pas étonnés si je n'éprouve aucun respect ni pour vous ASN, ni pour vos donneurs d'ordres, et encore moins pour les tireurs de ficelles qu'on appelle les lobbies. Vous êtes un ramassis réugnant de malfrats patentés et si la loi était juste, elle vous mènerait derechef vers les travaux d'intérêts généraux sans rémunération.

Le seul souhait que je formule aujourd'hui, dans toute la beauté de ma colère, c'est que vous deveniez tous, amalgat de mécréants, des réceptacles aimantés et incontournables à toutes les nuisances dont vous êtes l'origine.

La page que l'Histoire écrira de vous me fait rigoler d'avance.

Bien le bonsoir, MsieuxDames.