Projet de décision de l’ASN relative au renforcement du contrôle des opérations réalisées sur les matériels assurant la fonction de sûreté de maîtrise des réactions nucléaires en chaîne sur la centrale nucléaire de Cruas-Meysse

Encore un exemple de risques encourus par la population et toute une région voire le pays. Depuis le temps que les avertissements s'accumulent "on ne pourra pas dire que l'on ne savait pas"... Il faut arrêter cette fuite en avant et arrêter la production de cette énergie mortelle qui n'a aucun avenir avec des ressources en combustible limitées, des coûts de production exorbitants, des coûts de démantèlement des centrales incommensurables et durables, des déchets hyper dangereux intraitables... Rien n'est maîtrisé techniquement, financièrement, humainement, les catastrophes précédentes doivent être prises en considération. Il faut également arrêter la vente de réacteurs à l'étranger. Toute cette industrie trop dangereuse doit être stoppée et on doit exiger que leurs profits seront utilisés pour entretenir et mettre en sécurité les centrales arrêtées qui resteront des sources majeures de risques pendant un temps infiniment long. L'état doit enfin prendre ses responsabilités en décidant de l’arrêt du nucléaire et si l'ASN assure en son nom le contrôle de la sécurité, l'ASN doit avoir dans tous les cas des décisions tranchées ne laissant pas place à l'interprétation. Cela paraît incroyable qu'on laisse des firmes faire des profits sans être inquiétées, alors qu'elles mettent des populations en danger, rendent des lieux inutilisables et dangereux...
Il y a mieux à faire en investissant dans des énergies vertueuses, respectueuses de la planète.

bonjour,
au vu des accidents de Tchernobyl (réacteur neuf) et de Fukushima, et de l'impossibilité de gérer la situation (1), il est inadmissible de ne pas stopper le chantier.
Les générations futures jugeront chaque responsable individuellement comme des criminels contre l'humanité. Et plus encore que les nazis pendant la seconde guerre mondiale.
Car les impacts des accidents nucléaires prennent des millions d'années pour que les effets se terminent. Et sont mortels pour l'homme, la faune et la flore et l'équilibre des écosystèmes de la planète. Mutations génétiques, maladies, ...

(1) Tchernobyl : sarcophage à refaire tous les 30 ans et de plus en plus grand. Le second devant être sur le premier et ainsi de suite;
Fukushima : accident en cours

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il est tout simplement inconcevable que l'ASN puisse laisser EDF-AREVA poursuivre ce chantier en ayant toute connaissance des risques encourus puisqu'il est mis en évidence que cette cuve ne présente pas du tout les qualités de sûreté requises pour un tel équipement.
C'est inadmissible comme le fait de procéder à des consultations en catimini en plein mois d'août....Quel est le but ? Que l'ASN puisse se dédouaner en s'appuyant sur le proverbe : "Qui ne dit mot consent ?"
Ah ! Si autant d'argent avait été mis par EDF dans l'énergie renouvelable......de grands progrès auraient été accomplis.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

A quand une vraie transition énergétique !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Plutôt que de gaspiller de l'argent dans une énergie qui coûtera au final beaucoup plus qu'elle ne rapporte (confinement des réacteurs et déchets en fin de vie pendant des milliers d'années avec des risques sanitaires majeurs)
il serait préférable d'accentuer la production et la recherche d'énergies propres et renouvelables et que la France qui défend les projets contre le réchauffement climatique soit enfin à la pointe de ces recherches et production au lieu d'être à la traine.

J'ajoute ma voix à celle de la raison, à savoir que l'énergie bon marché et les emplois ne sont pas des raisons suffisantes pour faire courir un tel risque à la population actuelle ainsi qu'aux générations futures qui ne peuvent même pas défendre leurs droits. Quand à nous pouvons nous vraiment défendre les nôtres dans cette pseudo démocratie ou l'intérêt des plus riches prévaut sur celui du plus grand nombre. Merci à l'ASN de remplir son rôle en nous protégeant.