Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Areva à agit en connaissance de causes .
Il s'agit d'une fraude qui doit être sanctionnée !
La cuve est un élément principal de la sécurité d'une centrale nucléaire.
Le principe de précaution doit être appliqué ! ! La cuve ne doit pas être utilisée en l'état car on ne peut pas prédire son comportement et son evolution. C'est prendre le risque d'une rupture brutale !
Le peuple français n'as pas à payer pour les erreurs de gestion du groupe EDF-AREVA !
Il en va de la sécurité de millions de citoyens français et européens !

Impossible de continuer un chantier où des doutes existent sur la qualité de la cuve. Les projets énergétiques de grande échelle se doivent de servir la population et les intérêts économiques ne doivent pas primer sur la sécurité et la bonne santé de la population. Pas de prise de risque inutile d'autant que l'actualité nous montre qu'il est toujours aussi imprévisible de prévoir l'intensité des phénomènes naturels et leurs conséquences.

Comment avoir confiance à des documents mis à disposition qui émanent tous d'organismes impliqués dans les dysfonctionnements qui ont conduit à l'installation des composants défectueux ? Sans contre-pouvoir, sans transparence, il n'est pas possible d'accorder sa confiance. En particulier dans un domaine où on nous déjà tant menti.
La dangerosité de l'EPR, réacteur de 1650 MWe dont la construction a été émaillé de nombreux problèmes et qui ne bénéficie d'aucun retour d'expérience, impose de proscrire toute diminution des marges de sécurité, toute zone d'ombre, toute remise en question du principe fondamental de défense en profondeur.
Je m'oppose donc à l'autorisation de mise en service de la cuve de Flamanville 3 alors que ses composants ne respectent pas les exigences fondamentales de sûreté.

La cuve est une pièce essentielle du réacteur ; sa qualité doit être irréprochable. Les meilleurs outils de contrôle sont encore insuffisants. Si malgré tout, un doute existe, il est hors de question de mettre en service un réacteur d'une telle puissance avec une cuve imparfaite.
La cuve ne doit donc pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'étant visiblement pas satisfaisant.

Puisque des travaux doivent être entrepris, il faut les réaliser avant toute mise en service.

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies, en particulier le fond et le couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Comment peut-on encore construire des centrales nucléaires avec tout ce qu'on sait sur le manque de sécurité, l'incapacité à gérer une catastrophe et la façon de faire disparaitre les déchets en les glissant sous le tapis pour des millénaires. Comment pouvez-vous envisager de valider l'EPR alors que cette cuve présente une faille évidente ? C'est lamentable de mettre ainsi en danger l'avenir de nos enfants ! Et vous, agents de l'ASN, d'Areva et d'EDF, n'en avez vous pas des enfants? Sortez de votre vision courtermiste et à angle obtus.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur : sa qualité doit être irréprochable.
Or, d'après les différents éléments mis à disposition sur cette page, la cuve n'a pas les caractéristiques requises.
Rien de ne permet d'anticiper de manière fiable son évolution et de prévenir de manière certaine le risque d'une rupture brutale.
La cuve ne doit donc pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'étant pas totalement satisfaisant malgré les arguments présentés par Areva, le principe de précaution doit prévaloir, en particulier sur les questions nucléaires.
A ce titre, nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies, en particulier le fond et le couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville.

Pour rappel :
• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
La cupidité fait prendre bien des risques aux populations...