Maîtrise des nuisances et de l’impact sur la santé et l’environnement
18/01/2014 02:01
soumis à votre réflexion
Analyse projet de décision maîtrise des nuisances et impact sur la santé et l’environnement des INB
Exemple concret d’erreur imputable à des écarts dans la dénomination d’un même matériel.
Objet : Contrôle des installations nucléaires de base
CNPE de Gravelines – INB n° 122
Inspection INSSN-LIL-2013-0822 effectuée le 26 mars 2013
Thème : "Inspection réactive – Rejets d'effluents tritiés par 7 SEO".
Réf. : Code de l'environnement, notamment ses articles L.592-1 et L.596-1
Le 27 février 2013, le CNPE reçoit les résultats des analyses permettant de contrôler l’absence de radioactivité dans les rejets des égouts des réacteurs 5 et 6 (l’émissaire est dénommé 7 SEO par le CNPE et B3 dans l’arrêté « rejet » du 7 novembre 2003). Ces analyses montent des activités volumiques en tritium de 450 et 720 Becquerels par litre au niveau de l’émissaire B3, respectivement les 15 et 22 février 2013.
Le problème a été également rencontré lors des modifications des seuils de débit pour les autorisations de rejet.
Prescriptions pour la protection. La zone de mélange devrait être définie (matérialisée sur plan) pour éviter toute contestation ultérieure.
Article 1-1-3 copié collé entre activités importantes et éléments importants pour la protection (éléments « importantes ?)
Chapitre 2 Article 1-2-3 et (1-2-1 ; 1-2-2) L’exploitant ne peut limiter les nuisances suites à aléas.
Article 1-2-4 I le fonctionnement en mode dégradé, durées, mesures compensatoires) devra faire l’objet de consensus. Rétablir le fonctionnement normal de l’installation dans les meilleurs délais implique (souvent) un recours aux astreintes. Attention aux aléas naturels.
Article 1-2-5 L’obligation de disposer de réserves suffisantes (le terme occasionnelle est très contraignant vis-à-vis des fonctions supports)
Article 1-2-7 La formulation au voisinage doit être définie (périmètre) car certaines activités impactant les temps de transport ne sont pas sans conséquences sur les impacts.
Chapitre 3 Article 1-3-1 I Meilleures techniques disponibles. La mise en œuvre devient-elle obligatoire et est-ce qu’elle intègre (conditions économiquement acceptables) les conséquences d’événements (échelle INES 7,6,5)
Article 1-3-1 III Attention au réexamen et à la mise à jour en fonction de l’installation de référence. (Alerte déjà formulée concernant les EPS, IO,…particularités de palier, de tranche.
Titre II article 2-1-II Veillez en rester cohérent avec les espaces déjà classés (exemples Vallée du Rhône les ZNIEFF,
Chapitre 1 Article 2-1-1 Attention de bien maîtriser la diffusion des plans. (Classement et protection confidentielle défense)
Article 2-1-5 Il va falloir faire preuve d’imagination en particulier lors des arrêts de tranche.
Chapitre 2 Article 2-2-1 Respecter les orientations ZEC, PPRn, SAGE,..
Chapitre III section 1 Article 2-3-1 Assurer l’étanchéité ou la captation des fuites de toutes canalisations de transfert d’effluent (y compris sur séisme ou inondation ?)
Section 2 Article 2-3-4 Difficile en toute circonstance de garantir la séparation pour les eaux pluviales.
Section 3 Article 2-3-6 I Autres surfaces imperméabilisées s’applique aux toitures ? (BAN, BK, BR, Diésels…)
Point IV Attention aux moyens et débit mis en œuvre (exemple incendies TP, TS,TA, BL, BAN,BK
Section 4 article 2-3-8 Hors aléas ? Evénements relevant de l’accidentelle et du post accidentelle ?
Article 2-3-10 II Rejets concertés simultanés gazeux attention TEGH +BAN (INB x,y,z)
Article 2-3-10 III concertation entre INB du même bassin versant à préciser (exemple : vallée du Rhône)
Article 2-3-11. Le simple respect des valeurs mini de débit ou de vitesse d’éjection ne permet pas de garantir une réduction de l’impact voir les conditions type utilisées pour la diffusion des gaz et des aérosols (DN ;DF ; DNca ;DN cap ;…..)
Section 6 Article 2-3-16-1 XCA fuel, diésels, TAG. Les cheminées des sources électriques de secours sont dimensionnées aux séismes, difficile de les modifier.
Titre III section 1 Article 3-1-1 I L’exigence d’avoir au moins 2 véhicules capables d’intervenir hors du site quelles que soient les circonstances. Est difficilement réalisable selon les hypothèses des accidents hors dimensionnement (post Fukushima il faudrait des véhicules amphibies tout terrain et à condition d’avoir un chauffeur et un laborantin ???)
Article 3-1-5 II Certains prélèvements sont obligatoires. L’exploitant suite à des aléas naturels ou technologiques sera forcément contraint de différer le dépannage ou le prélèvement. Reporter sur les registres ou rapport diffère l’information qui pourrait trouver son intérêt dans une anticipation des PUI et PPI.
Chapitre II article 3-2-2 Arrosage des espaces vert, appoint et rinçage de JPD par SEP,
Section 4 Attention aux puisards RPE Il conviendrait de différencier les transferts vers stockage des simples relevages.
Section5 3-2-16 l’exploitant dispose en permanence d’une mesure représentative du débit du cours d’eau au point de rejet. Vous avez raison de mentionner représentative.
Article 3-2-18 Surveillance permanente couplée à 2 chaines de mesure indépendantes (jusqu’ou découplage ? Essais périodiques, calibration, dépannage)
Article 3-2-19 S’en est terminé des chauffages des serres et autres utilisateurs des eaux des aéro ?
Section7 Recherches de substances dangereuses dans l’eau. Attention demain à ne pas devoir séparer la collecte les sanitaires hommes et femmes pour les ostrogènes (BAN, BA, infirmerie…).
Article 3-3-10 TAG et diésels on concernés par la recherche de substances chimiques.
Article 4-1-2 Bruits des soupapes essais de jour avec information préalable. Pour le reste (arcs électriques Tricastin) GCTa , VVP, GSS, SVA,.. Prévenir à minima les Maires des périmètres de danger immédiat cela évitera les mauvaises interprétations.
Chapitre II Substances chimiques Article 4-2-2 Concernant les produits chimiques et les parades (toxicologie et incendie) pourquoi ne pas utiliser la réglette » Matissard » et le code international des matières classées on gagnerait un temps précieux ! Article 4-2-3 Attention aux délais de mise en œuvre et aux incompatibilités.
Chapitre III Article 4-3-1 I et suites Stockage et entreposage Les valeurs limites indiquées imposeraient la fermeture de nombreux magasins. La compatibilité des produits devraient être prise en compte autant que les volumes. Le point III est une excellente remarque en particulier pour les puisards sous galeries (NGF de sûreté du site). Le point IX Difficilement réalisable à postériori.
Article 4-3-3 Problèmes avec la salle des machines.
Article 4-3-5 I Problèmes avec SEK TER déjà abordé lors de CLI sur les conditions de rejet (f Q des fleuves)
Article 4-3-7 Risque de problème avec l’enrobage des résines TES (styrènes)
Chapitre IV Bruit et vibrations Article 4-4-1 jusqu’à 4-4-5 ASN semble plus contraignante que les DREAL au sujet des aménagements routiers pourtant les Directeurs DREAL sont également Directeur délégué « régional » de l’ASN ?
Chapitre V Articles 4-5-1 et 2 Odeurs même remarque que ci-dessus
Chapitre VI Articles 4-6-1 et 2 Paysage même remarque que ci-dessus
Titre V Registres si il ni a pas d’anticipation sur la déclaration des écarts il est à craindre des réactions contraire aux intérêts des exploitants donc de l’ASN.
Article 5-2-5 III Ce point devrait faire l’objet d’un REX rapide adapté aux installations concernées. Inutile « d’arroser » tout le monde.
Article 5-2-8 Effectivement tout ne peut, ne doit être, diffusé, non par tradition du secret mais bien pour garantir la sécurité (y compris celle des opposants)
Tableau des contrôles, nature, périodicité paramètres ou analyses sous les vents dominants uniquement ? voir 2-3-11 l’on gagnerait sans doute à s’inspirer de l’événement « odorant » du Havre pour valider les codes de diffusion en condition atmosphériques connues (Produit physiquement et chimiquement connu)
PS Le pseudo est connu de la DREAL Lyon, de l'ASN, des Préfets
Exemple concret d’erreur imputable à des écarts dans la dénomination d’un même matériel.
Objet : Contrôle des installations nucléaires de base
CNPE de Gravelines – INB n° 122
Inspection INSSN-LIL-2013-0822 effectuée le 26 mars 2013
Thème : "Inspection réactive – Rejets d'effluents tritiés par 7 SEO".
Réf. : Code de l'environnement, notamment ses articles L.592-1 et L.596-1
Le 27 février 2013, le CNPE reçoit les résultats des analyses permettant de contrôler l’absence de radioactivité dans les rejets des égouts des réacteurs 5 et 6 (l’émissaire est dénommé 7 SEO par le CNPE et B3 dans l’arrêté « rejet » du 7 novembre 2003). Ces analyses montent des activités volumiques en tritium de 450 et 720 Becquerels par litre au niveau de l’émissaire B3, respectivement les 15 et 22 février 2013.
Le problème a été également rencontré lors des modifications des seuils de débit pour les autorisations de rejet.
Prescriptions pour la protection. La zone de mélange devrait être définie (matérialisée sur plan) pour éviter toute contestation ultérieure.
Article 1-1-3 copié collé entre activités importantes et éléments importants pour la protection (éléments « importantes ?)
Chapitre 2 Article 1-2-3 et (1-2-1 ; 1-2-2) L’exploitant ne peut limiter les nuisances suites à aléas.
Article 1-2-4 I le fonctionnement en mode dégradé, durées, mesures compensatoires) devra faire l’objet de consensus. Rétablir le fonctionnement normal de l’installation dans les meilleurs délais implique (souvent) un recours aux astreintes. Attention aux aléas naturels.
Article 1-2-5 L’obligation de disposer de réserves suffisantes (le terme occasionnelle est très contraignant vis-à-vis des fonctions supports)
Article 1-2-7 La formulation au voisinage doit être définie (périmètre) car certaines activités impactant les temps de transport ne sont pas sans conséquences sur les impacts.
Chapitre 3 Article 1-3-1 I Meilleures techniques disponibles. La mise en œuvre devient-elle obligatoire et est-ce qu’elle intègre (conditions économiquement acceptables) les conséquences d’événements (échelle INES 7,6,5)
Article 1-3-1 III Attention au réexamen et à la mise à jour en fonction de l’installation de référence. (Alerte déjà formulée concernant les EPS, IO,…particularités de palier, de tranche.
Titre II article 2-1-II Veillez en rester cohérent avec les espaces déjà classés (exemples Vallée du Rhône les ZNIEFF,
Chapitre 1 Article 2-1-1 Attention de bien maîtriser la diffusion des plans. (Classement et protection confidentielle défense)
Article 2-1-5 Il va falloir faire preuve d’imagination en particulier lors des arrêts de tranche.
Chapitre 2 Article 2-2-1 Respecter les orientations ZEC, PPRn, SAGE,..
Chapitre III section 1 Article 2-3-1 Assurer l’étanchéité ou la captation des fuites de toutes canalisations de transfert d’effluent (y compris sur séisme ou inondation ?)
Section 2 Article 2-3-4 Difficile en toute circonstance de garantir la séparation pour les eaux pluviales.
Section 3 Article 2-3-6 I Autres surfaces imperméabilisées s’applique aux toitures ? (BAN, BK, BR, Diésels…)
Point IV Attention aux moyens et débit mis en œuvre (exemple incendies TP, TS,TA, BL, BAN,BK
Section 4 article 2-3-8 Hors aléas ? Evénements relevant de l’accidentelle et du post accidentelle ?
Article 2-3-10 II Rejets concertés simultanés gazeux attention TEGH +BAN (INB x,y,z)
Article 2-3-10 III concertation entre INB du même bassin versant à préciser (exemple : vallée du Rhône)
Article 2-3-11. Le simple respect des valeurs mini de débit ou de vitesse d’éjection ne permet pas de garantir une réduction de l’impact voir les conditions type utilisées pour la diffusion des gaz et des aérosols (DN ;DF ; DNca ;DN cap ;…..)
Section 6 Article 2-3-16-1 XCA fuel, diésels, TAG. Les cheminées des sources électriques de secours sont dimensionnées aux séismes, difficile de les modifier.
Titre III section 1 Article 3-1-1 I L’exigence d’avoir au moins 2 véhicules capables d’intervenir hors du site quelles que soient les circonstances. Est difficilement réalisable selon les hypothèses des accidents hors dimensionnement (post Fukushima il faudrait des véhicules amphibies tout terrain et à condition d’avoir un chauffeur et un laborantin ???)
Article 3-1-5 II Certains prélèvements sont obligatoires. L’exploitant suite à des aléas naturels ou technologiques sera forcément contraint de différer le dépannage ou le prélèvement. Reporter sur les registres ou rapport diffère l’information qui pourrait trouver son intérêt dans une anticipation des PUI et PPI.
Chapitre II article 3-2-2 Arrosage des espaces vert, appoint et rinçage de JPD par SEP,
Section 4 Attention aux puisards RPE Il conviendrait de différencier les transferts vers stockage des simples relevages.
Section5 3-2-16 l’exploitant dispose en permanence d’une mesure représentative du débit du cours d’eau au point de rejet. Vous avez raison de mentionner représentative.
Article 3-2-18 Surveillance permanente couplée à 2 chaines de mesure indépendantes (jusqu’ou découplage ? Essais périodiques, calibration, dépannage)
Article 3-2-19 S’en est terminé des chauffages des serres et autres utilisateurs des eaux des aéro ?
Section7 Recherches de substances dangereuses dans l’eau. Attention demain à ne pas devoir séparer la collecte les sanitaires hommes et femmes pour les ostrogènes (BAN, BA, infirmerie…).
Article 3-3-10 TAG et diésels on concernés par la recherche de substances chimiques.
Article 4-1-2 Bruits des soupapes essais de jour avec information préalable. Pour le reste (arcs électriques Tricastin) GCTa , VVP, GSS, SVA,.. Prévenir à minima les Maires des périmètres de danger immédiat cela évitera les mauvaises interprétations.
Chapitre II Substances chimiques Article 4-2-2 Concernant les produits chimiques et les parades (toxicologie et incendie) pourquoi ne pas utiliser la réglette » Matissard » et le code international des matières classées on gagnerait un temps précieux ! Article 4-2-3 Attention aux délais de mise en œuvre et aux incompatibilités.
Chapitre III Article 4-3-1 I et suites Stockage et entreposage Les valeurs limites indiquées imposeraient la fermeture de nombreux magasins. La compatibilité des produits devraient être prise en compte autant que les volumes. Le point III est une excellente remarque en particulier pour les puisards sous galeries (NGF de sûreté du site). Le point IX Difficilement réalisable à postériori.
Article 4-3-3 Problèmes avec la salle des machines.
Article 4-3-5 I Problèmes avec SEK TER déjà abordé lors de CLI sur les conditions de rejet (f Q des fleuves)
Article 4-3-7 Risque de problème avec l’enrobage des résines TES (styrènes)
Chapitre IV Bruit et vibrations Article 4-4-1 jusqu’à 4-4-5 ASN semble plus contraignante que les DREAL au sujet des aménagements routiers pourtant les Directeurs DREAL sont également Directeur délégué « régional » de l’ASN ?
Chapitre V Articles 4-5-1 et 2 Odeurs même remarque que ci-dessus
Chapitre VI Articles 4-6-1 et 2 Paysage même remarque que ci-dessus
Titre V Registres si il ni a pas d’anticipation sur la déclaration des écarts il est à craindre des réactions contraire aux intérêts des exploitants donc de l’ASN.
Article 5-2-5 III Ce point devrait faire l’objet d’un REX rapide adapté aux installations concernées. Inutile « d’arroser » tout le monde.
Article 5-2-8 Effectivement tout ne peut, ne doit être, diffusé, non par tradition du secret mais bien pour garantir la sécurité (y compris celle des opposants)
Tableau des contrôles, nature, périodicité paramètres ou analyses sous les vents dominants uniquement ? voir 2-3-11 l’on gagnerait sans doute à s’inspirer de l’événement « odorant » du Havre pour valider les codes de diffusion en condition atmosphériques connues (Produit physiquement et chimiquement connu)
PS Le pseudo est connu de la DREAL Lyon, de l'ASN, des Préfets
18/01/2014 02:01
Analyse en cours
Analyse du projet de décision ASN N° 2013DCxxx
Le dossier fait référence en particulier à l’arrêté du 7 février 2012 ainsi qu’à de nombreuses Directives Européennes. L’arrêté de février 2012 mentionne une actualisation par rapport au cadre législatif institué par la loi N° 2006-686 du 13 juin 2006. Parmi les dispositions « nouvelles » : la prise en compte de cumuls de situations pour démontrer de sûreté nucléaire (édition du 8 février 2012) ?? S’il y s’agit de remplacer »de » par »la » le sujet est vaste ! TITRE 1 L’article 1-1 repose sur une approche proportionnée à l’importance des risques. Cette notion d’importance devrait être quantifiée sur des critères consensuels mais admis ! Article 1-2 Un niveau de risques mentionnés à l’article L593-1 du code de l’environnement aussi faible que possible dans des conditions économiquement acceptables. S’agit-il de économiquement acceptable pour l’exploitant ou pour la société ?? Article 1-3 Redéfinit des termes les agressions internes et externes étaient déjà mentionnées dans le document de l’AIEA xxxxxxxxxxx . Les termes événement et situation qui peuvent entraîner de manière directe ou indirecte des dommages ou de remettre en cause le respect des exigences définies est permissif. Doit-on considérer que des aléas climatiques historiquement vérifiables sont à prendre en compte ?? (Les notions utilisées par l’Equipement décennales, centennales, milléniales vis-à-vis des aléas naturels n’ont aucun sens physique).
TITRE 2 chapitre 1 Article 2-1-1 III L’exploitant dispose en interne des capacités ,,, dans des délais adaptés. Tant que la politique des logements d’astreintes sera soumise au pouvoir politique (des revenus pour assurer un rééquilibrage des finances publiques, politique sociale de la ville). L’entreprise ne sera pas en mesure d’intervenir dans les délais prévus par les études (Aléas climatiques ou saisonniers).
Article 2-3-1 Prévention des accidents et limitation de leurs conséquences. Une coopération honnête entre les administrations (équipement, ministères de l’équipement, de environnement, de l’intérieur et les experts ASN, IPSN, IMRA..) est indispensable (point déjà mentionné depuis les années 1999)
Chapitre 5 article 2-5-1-II assurer les fonctions qui leur sont assignées,,, et des conditions d’ambiance associées. Attention aux conditions « dites » limites qui ne dépendent que des hypothèses retenues. Donc du bon vouloir des rédacteurs des études.
Article 2-5-4-I Une usine à gaz diluant les responsabilités X fait, Y contrôle, Z vérifie, Béta évalue. Après des kilos de papier ou des saisies informatiques pour solder les dossiers. Perte d’énergie ! allez sur « le tas ».
Chapitre 6 Article 2-6-3 -5.Les replis de tranches sur incident non compensable immédiatement devrait être sans délais (Un matériel non réparable est indisponible sans avoir à jouer sur les délais de réparation et de repli. Les incertitudes sur les IO paliers sont suffisamment grandes pour ne pas prendre de risques inconsidérés)
Article 2-6-4 I Il est évident que les conséquences potentielles doivent être étudiées en terme de REX. Comme il est indispensable d’avoir une chronologie exacte et un état réel de l’installation (Etat standard détaillé, indisponibilités présentes,,)
Chapitre 7 Article 2- Revue des écarts afin d’apprécier l’effet cumulé sur l’installation. Nul n’est parfait. Il existe des outils, mais existe-t-il des personnes dédiées ? Reprendre les événements déclarés et les lettres suites à inspections par palier et vérifier sur « le tas » pas dans les bases de données l’état tranche par tranche. Nous gagnerons en efficacité.
Chapitre 8 Article 2-8-1 Sauf quelques rares CLI (nous avons analysé certains CR) le manque de connaissance technique est réel. Il ne faut pas espérer des merveilles mais c’est mieux que rien. L’exploitant maître des informations qu’il diffuse n’est pas forcément enclin à se tirer une balle dans le pied. (Il existe des cas de « censure » conjoncturelle médiatique).
Article 3-4 I Ne considérer que la puissance résiduelle thermique issue des substances radioactives et des réactions nucléaires nous semble incomplet en début de transitoire il faut bien évacuer toute l’énergie stockée dans les structures. Variables selon les types de paliers » et les structures présentent dans l’enceinte de confinement. De mémoire 2/3 de l’énergie à évacuer après un AR est imputable aux structures.
Les articles 3-5 et 3-6 ne font que reprendre le dossier de l’AIEA dont nous avons déjà mentionné l’existence (y compris auprès de l’administration et de juridiction). L’avis de l’ASN ou de l’AE indépendantes devrait être demandé pour tout aménagement susceptible devoir un impact direct (ICPE) ou indirect (Zones de transit) sur la sûreté (pas seulement dans le périmètre consensuel de danger immédiat).
Article 3-8 I La référence à l’article 2-7-2 le terme similaire ou non nécessite des précisions. Si l’analyse est indispensable, le transfert sur des conceptions différentes peut poser des problèmes. Le retour d’expérience suite à inspections sur des « Directives Parc » démontre (voir les lettres suites à inspection) que les « consignes » ne sont pas forcément transposables.
Article 3-9 Certaines « justifications « sur les événements à cinétique rapide induisant une protection des populations. Est une sage précaution mais difficilement applicable et ne devrait pas concerner que les activités nucléaires.
Section 4 Article 4-1-14 et 4-1-9 La « qualité » des rejets d’eaux pluviales peut –être affectée par des pollutions externes au site (milieu industriel) reporter la responsabilité de la gestion à l’exploitant nucléaire nous semble dans ce cas excessif.
Article 4-2-3 III Terminé la loi du silence imposée lors de Tchernobyl ?
Chapitre 4 Article 4-4-3 I. Aucune activité technique ne peut se réaliser sans production d’effluents. Difficile de prévoir le cumul des interventions nécessitant une vidange de tuyauterie (eau ou gaz) Il aurait été nécessaire de préciser hors aléas. Et assurer une information de l’ASN.
Titre 5 Gestion des déchets Article 6-3 Attention aux charges calorifiques et aux effets potentiels d’un incendie sur les produits qui pourraient être incompatibles y compris avec les moyens de lutte.
Titre 7 Préparation et gestion des situations d’urgence Article 7-1 attention aux aléas « naturels » il doit être possible d’anticiper sur certains événements (Blayais, neige dans l’ouest, incendie dans le sud, inondations…) Article 7-3 Lancer les actions appropriées nécessitent une plus grande vigilance sur les zones d’habitat d’astreinte. Même une RTGV ou un incendie nécessite des actions « rapides ».
Article 7-4 Attention à l’opérabilité du PUI (opérabilité des réseaux tél, routes,) en cas d’aléas. Les études sont faites (par la DREAL) une priorisation des actions à mener en fonction des installations industriels présentes nous semble indispensable.
Article 7-6 Lors d’une pré-alerte en cas d’aléas naturels prendre en compte la situation prévisible pour faire jouer le scénario. Vous « déverminerez » les procédures et vous formerez les intervenants.
Le dossier fait référence en particulier à l’arrêté du 7 février 2012 ainsi qu’à de nombreuses Directives Européennes. L’arrêté de février 2012 mentionne une actualisation par rapport au cadre législatif institué par la loi N° 2006-686 du 13 juin 2006. Parmi les dispositions « nouvelles » : la prise en compte de cumuls de situations pour démontrer de sûreté nucléaire (édition du 8 février 2012) ?? S’il y s’agit de remplacer »de » par »la » le sujet est vaste ! TITRE 1 L’article 1-1 repose sur une approche proportionnée à l’importance des risques. Cette notion d’importance devrait être quantifiée sur des critères consensuels mais admis ! Article 1-2 Un niveau de risques mentionnés à l’article L593-1 du code de l’environnement aussi faible que possible dans des conditions économiquement acceptables. S’agit-il de économiquement acceptable pour l’exploitant ou pour la société ?? Article 1-3 Redéfinit des termes les agressions internes et externes étaient déjà mentionnées dans le document de l’AIEA xxxxxxxxxxx . Les termes événement et situation qui peuvent entraîner de manière directe ou indirecte des dommages ou de remettre en cause le respect des exigences définies est permissif. Doit-on considérer que des aléas climatiques historiquement vérifiables sont à prendre en compte ?? (Les notions utilisées par l’Equipement décennales, centennales, milléniales vis-à-vis des aléas naturels n’ont aucun sens physique).
TITRE 2 chapitre 1 Article 2-1-1 III L’exploitant dispose en interne des capacités ,,, dans des délais adaptés. Tant que la politique des logements d’astreintes sera soumise au pouvoir politique (des revenus pour assurer un rééquilibrage des finances publiques, politique sociale de la ville). L’entreprise ne sera pas en mesure d’intervenir dans les délais prévus par les études (Aléas climatiques ou saisonniers).
Article 2-3-1 Prévention des accidents et limitation de leurs conséquences. Une coopération honnête entre les administrations (équipement, ministères de l’équipement, de environnement, de l’intérieur et les experts ASN, IPSN, IMRA..) est indispensable (point déjà mentionné depuis les années 1999)
Chapitre 5 article 2-5-1-II assurer les fonctions qui leur sont assignées,,, et des conditions d’ambiance associées. Attention aux conditions « dites » limites qui ne dépendent que des hypothèses retenues. Donc du bon vouloir des rédacteurs des études.
Article 2-5-4-I Une usine à gaz diluant les responsabilités X fait, Y contrôle, Z vérifie, Béta évalue. Après des kilos de papier ou des saisies informatiques pour solder les dossiers. Perte d’énergie ! allez sur « le tas ».
Chapitre 6 Article 2-6-3 -5.Les replis de tranches sur incident non compensable immédiatement devrait être sans délais (Un matériel non réparable est indisponible sans avoir à jouer sur les délais de réparation et de repli. Les incertitudes sur les IO paliers sont suffisamment grandes pour ne pas prendre de risques inconsidérés)
Article 2-6-4 I Il est évident que les conséquences potentielles doivent être étudiées en terme de REX. Comme il est indispensable d’avoir une chronologie exacte et un état réel de l’installation (Etat standard détaillé, indisponibilités présentes,,)
Chapitre 7 Article 2- Revue des écarts afin d’apprécier l’effet cumulé sur l’installation. Nul n’est parfait. Il existe des outils, mais existe-t-il des personnes dédiées ? Reprendre les événements déclarés et les lettres suites à inspections par palier et vérifier sur « le tas » pas dans les bases de données l’état tranche par tranche. Nous gagnerons en efficacité.
Chapitre 8 Article 2-8-1 Sauf quelques rares CLI (nous avons analysé certains CR) le manque de connaissance technique est réel. Il ne faut pas espérer des merveilles mais c’est mieux que rien. L’exploitant maître des informations qu’il diffuse n’est pas forcément enclin à se tirer une balle dans le pied. (Il existe des cas de « censure » conjoncturelle médiatique).
Article 3-4 I Ne considérer que la puissance résiduelle thermique issue des substances radioactives et des réactions nucléaires nous semble incomplet en début de transitoire il faut bien évacuer toute l’énergie stockée dans les structures. Variables selon les types de paliers » et les structures présentent dans l’enceinte de confinement. De mémoire 2/3 de l’énergie à évacuer après un AR est imputable aux structures.
Les articles 3-5 et 3-6 ne font que reprendre le dossier de l’AIEA dont nous avons déjà mentionné l’existence (y compris auprès de l’administration et de juridiction). L’avis de l’ASN ou de l’AE indépendantes devrait être demandé pour tout aménagement susceptible devoir un impact direct (ICPE) ou indirect (Zones de transit) sur la sûreté (pas seulement dans le périmètre consensuel de danger immédiat).
Article 3-8 I La référence à l’article 2-7-2 le terme similaire ou non nécessite des précisions. Si l’analyse est indispensable, le transfert sur des conceptions différentes peut poser des problèmes. Le retour d’expérience suite à inspections sur des « Directives Parc » démontre (voir les lettres suites à inspection) que les « consignes » ne sont pas forcément transposables.
Article 3-9 Certaines « justifications « sur les événements à cinétique rapide induisant une protection des populations. Est une sage précaution mais difficilement applicable et ne devrait pas concerner que les activités nucléaires.
Section 4 Article 4-1-14 et 4-1-9 La « qualité » des rejets d’eaux pluviales peut –être affectée par des pollutions externes au site (milieu industriel) reporter la responsabilité de la gestion à l’exploitant nucléaire nous semble dans ce cas excessif.
Article 4-2-3 III Terminé la loi du silence imposée lors de Tchernobyl ?
Chapitre 4 Article 4-4-3 I. Aucune activité technique ne peut se réaliser sans production d’effluents. Difficile de prévoir le cumul des interventions nécessitant une vidange de tuyauterie (eau ou gaz) Il aurait été nécessaire de préciser hors aléas. Et assurer une information de l’ASN.
Titre 5 Gestion des déchets Article 6-3 Attention aux charges calorifiques et aux effets potentiels d’un incendie sur les produits qui pourraient être incompatibles y compris avec les moyens de lutte.
Titre 7 Préparation et gestion des situations d’urgence Article 7-1 attention aux aléas « naturels » il doit être possible d’anticiper sur certains événements (Blayais, neige dans l’ouest, incendie dans le sud, inondations…) Article 7-3 Lancer les actions appropriées nécessitent une plus grande vigilance sur les zones d’habitat d’astreinte. Même une RTGV ou un incendie nécessite des actions « rapides ».
Article 7-4 Attention à l’opérabilité du PUI (opérabilité des réseaux tél, routes,) en cas d’aléas. Les études sont faites (par la DREAL) une priorisation des actions à mener en fonction des installations industriels présentes nous semble indispensable.
Article 7-6 Lors d’une pré-alerte en cas d’aléas naturels prendre en compte la situation prévisible pour faire jouer le scénario. Vous « déverminerez » les procédures et vous formerez les intervenants.
18/01/2014 02:01
mise à jour d'un texte
Pour que le public puisse donner son avis , il serait nécessaire de présenter un projet de décision lisible et compréhensible, comportant les différences avec l'ancien texte pour pouvoir comparer.
Le projet de décision fait référence à des arrêtés sans numéro qu'il est donc difficile de consulter.
C'est une démocratie factice où la formulation du texte écarte le citoyen.
Le projet de décision fait référence à des arrêtés sans numéro qu'il est donc difficile de consulter.
C'est une démocratie factice où la formulation du texte écarte le citoyen.
18/01/2014 02:01
arrêt immédiat du nucléaire
Il y a une certitude.Tous ces discours hypocrites autour du nucléaire (civil et militaire) doivent évoluer impérativement. Le nucléaire est un crime contre l'humanité. Déchets radioactifs qu'on ne peut traiter, mines d'uranium protégées par l'armée française, Afrique exploitée, spoliée, populations méprisées, démocratie bafouée, environnement détruit, mensonges de l'OMS,... etc, etc, j'en passe et des meilleures. La seule solution, et elle devient urgente, est l'ARRET IMMEDIAT du nucléaire et la promotion inconditionnelle du développement des ENR, de l'efficacité énergétique (qui n'est pas le fort du nucléaire), et de la sobriété.
18/01/2014 02:01
Tout simplement Trop Vieux
Peu commun comme moyen de nous demander notre avis,
un simple référendum aurait suffi.
Tout d'abord
Vous ne représentez que vous même.(je n'ai jamais choisi à un quelconque moment ce type d'énergie ni ses défauts, tout comme les antennes relais et autres engins de radio-télécommunication que l'on m'oblige à supporter(mal))
Ceci étant dis :
commençons par cette idée :
En électricité le transport d'énergie est une aberration.
or là..
c'est très moyen.
Surtout trop grosse et loin de la population.
Je crois que des projets comme la fusion froide, ou de petit projet à refroidissement passif
serait une meilleur voie,
Innovez svp.
développez des mini-central à refroidissement passif mais dans les villes,
si le système est sûre, on peut les mettre en villes,
or là.. c'est loin, souvent très loin pour la fabuleuse raison qu'il faut caché un peu ca fait moche.
Donc les gens se rendent moins compte de l'importance de la chose
(en l'occurrence des centrales vieillissantes d'une autre époque qui peuvent faire frémir)
Nous avons une ancienne centrale d'eau lourde en bretagne, elle n'est toujours pas démentelé,
elle doit daté pourtant^^, de la radioactivité s'en échappe, brennilis je crois =(
http://www.rue89.com/planete89/2011/05/12/a-brennilis-la-centrale-nucleaire-est-morte-mais-pas-demantelee-202203
Aucune gestion du démantèlement des vieillies infrastructures dans notre pays, du fait de la sous-traitance à une entité privé. .
De plus
Il faudrait si vous parlez respect de normes ou respect de l'environnement faire un tour chez votre prestataire : COGEMA, AREVA, enfin appelez-les comme vous voulez. vos exploitants de central MADE IN FR, les prestataire des sus-cités (jumpers) .
Veuillez déjà faire respecter les droits humains dans les mines où sont extrait vos minerais.
et les droits à une santé et une vie correcte aussi pour vos presta(jumpers) pas areva.
En conclusion, si vous écoutez le "peuple" le vrai celui qui est conscient de son "environnement" il vous émettra trois choix possible :
Soit on arrête le nucléaire,( peu importe le moyen la durée) .
Soit vous allez au devant et ainsi développez les techniques de maitrise de vos engins de mort.
soit vous passez par des ou plutôt "le " circuit court, petits système au plus près du consommateur. et surtout inoffensif sur la santé du vivant.
THERE IS -- ALTERNATIVE
un simple référendum aurait suffi.
Tout d'abord
Vous ne représentez que vous même.(je n'ai jamais choisi à un quelconque moment ce type d'énergie ni ses défauts, tout comme les antennes relais et autres engins de radio-télécommunication que l'on m'oblige à supporter(mal))
Ceci étant dis :
commençons par cette idée :
En électricité le transport d'énergie est une aberration.
or là..
c'est très moyen.
Surtout trop grosse et loin de la population.
Je crois que des projets comme la fusion froide, ou de petit projet à refroidissement passif
serait une meilleur voie,
Innovez svp.
développez des mini-central à refroidissement passif mais dans les villes,
si le système est sûre, on peut les mettre en villes,
or là.. c'est loin, souvent très loin pour la fabuleuse raison qu'il faut caché un peu ca fait moche.
Donc les gens se rendent moins compte de l'importance de la chose
(en l'occurrence des centrales vieillissantes d'une autre époque qui peuvent faire frémir)
Nous avons une ancienne centrale d'eau lourde en bretagne, elle n'est toujours pas démentelé,
elle doit daté pourtant^^, de la radioactivité s'en échappe, brennilis je crois =(
http://www.rue89.com/planete89/2011/05/12/a-brennilis-la-centrale-nucleaire-est-morte-mais-pas-demantelee-202203
Aucune gestion du démantèlement des vieillies infrastructures dans notre pays, du fait de la sous-traitance à une entité privé. .
De plus
Il faudrait si vous parlez respect de normes ou respect de l'environnement faire un tour chez votre prestataire : COGEMA, AREVA, enfin appelez-les comme vous voulez. vos exploitants de central MADE IN FR, les prestataire des sus-cités (jumpers) .
Veuillez déjà faire respecter les droits humains dans les mines où sont extrait vos minerais.
et les droits à une santé et une vie correcte aussi pour vos presta(jumpers) pas areva.
En conclusion, si vous écoutez le "peuple" le vrai celui qui est conscient de son "environnement" il vous émettra trois choix possible :
Soit on arrête le nucléaire,( peu importe le moyen la durée) .
Soit vous allez au devant et ainsi développez les techniques de maitrise de vos engins de mort.
soit vous passez par des ou plutôt "le " circuit court, petits système au plus près du consommateur. et surtout inoffensif sur la santé du vivant.
THERE IS -- ALTERNATIVE
18/01/2014 02:01
Le nucléaire en vaut-il la chandelle?
J'ai parcouru les différents commentaires. Certains m'ont fait froid dans le dos.
Par exemple, Seb prétend que les panneaux solaires ne sont pas retraitable et que la silice pollue!
Ah. Et les déchets nucléaires, c'est mieux alors? C'est à mon avis le problème principal. On ne sait pas quoi en faire, et à mon avis on ne saura jamais! Certains de ces déchets durent tellement longtemps et sont tellement dangereux qu'ils posent un problème insoluble à la société.
Le projet de Bure est à mon avis un leurre. Voyez à Asse en Allemagne où on doit ressortir les fûts qui fuient! Et là on va les enterrer définitivement, sachant parfaitement qu'ils vont finir par fuire et contaminer l'environnement! Il vaudrait mieux les garder en surface afin de mieux pour^voir les surveiller. Il faudrait aussi prévoir beaucoup d'argent pour payer les génération futures qui vont devoir surveiller tout ça sans pour autant que ça ne produise rien du tout ni ne rapporte quoi que ce soit.
Il y a aussi l'exploitation des centrales qui rejettent dans l'environnement (air et eau) des effluents. Ceux-ci sont bien plus nocifs que ce qui est prétendu par les autorités! De plus les usines de retraitement de la Hague et de Marcoule rejettent des quantités effroyables d'effluents dans la nature et dans la mer. Il faut absolument arrêter de prétendre que le nucléaire est recyclable. C'est carrément un mensonge! On se rend compte que les maladies telles que des cancers sont plus fréquents aux abords des installations nucléaires. Les faibles doses sont aussi bien plus dangereuses que ce qu'on pensaient jusqu'à présent!
Il y a aussi un sujet qui me préoccupe: la dissémination des déchets faiblement radioactifs dans toute sorte d'objets de la vie quotidienne. Il y a aussi les stériles qui ont été disséminés sur les routes, parkings et immeubles. C'est un poison insidieux qui ne doit pas exister! Il n'est pas acceptable d'avoir le moindre radionucléide dans la nourriture et dans notre environnement. Que fait l'ASN à ce sujet? Elle nous rassure tout en nous contaminant à petit feu!
Quant au sujet des accidents, que je qualifie plutôt de catastrophes, il y en a bien plus que trois!
Il y a les accidents proprement dit:
-Mayak (explosion d'une cuve de plutonium).
-Windscale devenu Sellafield ou le réacteur à brûlé, envoyant des radionucléides dans l'environnement.
-Lucens ou le réacteur expérimental a fondu. La radioactivité aurait été cantonnée dans la grotte qui abritait le réacteur. Il reste toutefois des rejets de tritium dans la nature...
-Three Miles Island ou une fusion du coeur à eu lieu.
-Tchernobyl et Fukushima qui sont toujours en cours...
Des fusions partielles de coeurs ou problèmes graves à St Laurent, Chinon, Tricastin ou on a eu chaud aux miches.
Ensuite il y a les expériences, les essais qui ont gravement contaminés l'environnement, sans parler de l'exploitation de l'uranium:
-Hanford dans le Whashington ou on a produit le plutonium militaire, contaminant la région, et dont les cuves fuient.
-Le désert d'Algérie (essais français)
-Mururoa (contaminé et menaçant de s'effondrer)
-Khasakstan (essais)
-Mines au Niger, en Sibérie, en Australie, au Canada.
Ce n'est pas un listing exhaustif, mais ça donne une idée de tout ce qui a été disséminé dans l'environnement. Ce qui a eu pour conséquences d'augmenter le bruit de fond radioactif dans l'atmosphère.
En conclusion, je dirait que le jeu n'en vaut vraiment pas la chandelle. Il faut aussi absolument arrêter d'envoyer des radionucléides dans l'environnement et protéger les populations. Ne pas disséminer ces radionucléides dans les objets de la vie courante. Il ne faut plus construire le moindre réacteur. Il faut abandonner astrid. Il faut progressivement arrêter les réacteurs en cours d'exploitations en remplaçant cette énergie par de renouvelable. Contrairement à une idée fausse, c'est possible! Réduire la consommation aussi (isolation plus efficace des bâtiments, suppression des chauffages électriques)
Abandonner l'EPR qui sont des catastrophes financières, ainsi qu'ITER qui est une utopie qui nous coûte très cher. Reproduire le soleil sur terre est totalement inutile. Le soleil envoie bien assez d'énergie sur terre!
On peut aussi utiliser du courant continu à haute tension pour transporter l'électricité sur de grandes distances avec très peu de pertes. Ainsi on peut produire de la géothermie en Islande et pays volcaniques, héliodynamique au sud, éolien ou c'est venteux. Il faut aussi utiliser la pile à combustible à la place du pétrole.
On peut faire plein de choses. Et prétendre que le nucléaire est bon marché est un leurre.
Rappelez-vous que moins l'énergie est chère, plus on la gaspille. Donc il faut qu'elle coûte plus! Et les ENR seront créatrices de beaucoup d'emplois non délocalisables!
Par exemple, Seb prétend que les panneaux solaires ne sont pas retraitable et que la silice pollue!
Ah. Et les déchets nucléaires, c'est mieux alors? C'est à mon avis le problème principal. On ne sait pas quoi en faire, et à mon avis on ne saura jamais! Certains de ces déchets durent tellement longtemps et sont tellement dangereux qu'ils posent un problème insoluble à la société.
Le projet de Bure est à mon avis un leurre. Voyez à Asse en Allemagne où on doit ressortir les fûts qui fuient! Et là on va les enterrer définitivement, sachant parfaitement qu'ils vont finir par fuire et contaminer l'environnement! Il vaudrait mieux les garder en surface afin de mieux pour^voir les surveiller. Il faudrait aussi prévoir beaucoup d'argent pour payer les génération futures qui vont devoir surveiller tout ça sans pour autant que ça ne produise rien du tout ni ne rapporte quoi que ce soit.
Il y a aussi l'exploitation des centrales qui rejettent dans l'environnement (air et eau) des effluents. Ceux-ci sont bien plus nocifs que ce qui est prétendu par les autorités! De plus les usines de retraitement de la Hague et de Marcoule rejettent des quantités effroyables d'effluents dans la nature et dans la mer. Il faut absolument arrêter de prétendre que le nucléaire est recyclable. C'est carrément un mensonge! On se rend compte que les maladies telles que des cancers sont plus fréquents aux abords des installations nucléaires. Les faibles doses sont aussi bien plus dangereuses que ce qu'on pensaient jusqu'à présent!
Il y a aussi un sujet qui me préoccupe: la dissémination des déchets faiblement radioactifs dans toute sorte d'objets de la vie quotidienne. Il y a aussi les stériles qui ont été disséminés sur les routes, parkings et immeubles. C'est un poison insidieux qui ne doit pas exister! Il n'est pas acceptable d'avoir le moindre radionucléide dans la nourriture et dans notre environnement. Que fait l'ASN à ce sujet? Elle nous rassure tout en nous contaminant à petit feu!
Quant au sujet des accidents, que je qualifie plutôt de catastrophes, il y en a bien plus que trois!
Il y a les accidents proprement dit:
-Mayak (explosion d'une cuve de plutonium).
-Windscale devenu Sellafield ou le réacteur à brûlé, envoyant des radionucléides dans l'environnement.
-Lucens ou le réacteur expérimental a fondu. La radioactivité aurait été cantonnée dans la grotte qui abritait le réacteur. Il reste toutefois des rejets de tritium dans la nature...
-Three Miles Island ou une fusion du coeur à eu lieu.
-Tchernobyl et Fukushima qui sont toujours en cours...
Des fusions partielles de coeurs ou problèmes graves à St Laurent, Chinon, Tricastin ou on a eu chaud aux miches.
Ensuite il y a les expériences, les essais qui ont gravement contaminés l'environnement, sans parler de l'exploitation de l'uranium:
-Hanford dans le Whashington ou on a produit le plutonium militaire, contaminant la région, et dont les cuves fuient.
-Le désert d'Algérie (essais français)
-Mururoa (contaminé et menaçant de s'effondrer)
-Khasakstan (essais)
-Mines au Niger, en Sibérie, en Australie, au Canada.
Ce n'est pas un listing exhaustif, mais ça donne une idée de tout ce qui a été disséminé dans l'environnement. Ce qui a eu pour conséquences d'augmenter le bruit de fond radioactif dans l'atmosphère.
En conclusion, je dirait que le jeu n'en vaut vraiment pas la chandelle. Il faut aussi absolument arrêter d'envoyer des radionucléides dans l'environnement et protéger les populations. Ne pas disséminer ces radionucléides dans les objets de la vie courante. Il ne faut plus construire le moindre réacteur. Il faut abandonner astrid. Il faut progressivement arrêter les réacteurs en cours d'exploitations en remplaçant cette énergie par de renouvelable. Contrairement à une idée fausse, c'est possible! Réduire la consommation aussi (isolation plus efficace des bâtiments, suppression des chauffages électriques)
Abandonner l'EPR qui sont des catastrophes financières, ainsi qu'ITER qui est une utopie qui nous coûte très cher. Reproduire le soleil sur terre est totalement inutile. Le soleil envoie bien assez d'énergie sur terre!
On peut aussi utiliser du courant continu à haute tension pour transporter l'électricité sur de grandes distances avec très peu de pertes. Ainsi on peut produire de la géothermie en Islande et pays volcaniques, héliodynamique au sud, éolien ou c'est venteux. Il faut aussi utiliser la pile à combustible à la place du pétrole.
On peut faire plein de choses. Et prétendre que le nucléaire est bon marché est un leurre.
Rappelez-vous que moins l'énergie est chère, plus on la gaspille. Donc il faut qu'elle coûte plus! Et les ENR seront créatrices de beaucoup d'emplois non délocalisables!
18/01/2014 02:01
Pourquoi pas de filtre ?
Sur 36 messages postés, 4 sont à peu près dans le sujet (Le 17 Mars 2013 à 1:45 par Anonyme, Le 17 Mars 2013 à 10:12 par pe2, Le 20 Mars 2013 à 4:59 par nariman, Le 26 Mars 2013 à 9:24 par Coryn) et un seul porte sur le projet de texte...
De Maistre je crois, disait que tout peuple a le gouvernement qu'il mérite... pas sûr que l'ASN ait le peuple qu'elle mérite. Les commentaires et invectives portant sur la politique énergétique française sont hors sujet ! Que ces gens écrivent au Premier ministre ou au Président de la République pour ce dont ils ont la charge, à l'ASN pour ce qui est la sienne (il est vrai que le Premier ministre ou l'Elysée n'ont pas encore de blog comme celui-ci)... plutôt que de parasiter une consultation précise sur un texte précis. Et même les antinucléaires devraient les premiers chercher à voir encadrer strictement les centrales, et chercher à influencer cet encadrement, non ?
Pourquoi les messages hors-sujet ne sont-ils pas supprimés pour tirer le niveau vers le haut ? Pourquoi au moins, le contour de la consultation n'est-il pas précisément et courtoisement rappelé, avec une description du rôle de l'ASN, en réponse à chaque message hors sujet ?
De Maistre je crois, disait que tout peuple a le gouvernement qu'il mérite... pas sûr que l'ASN ait le peuple qu'elle mérite. Les commentaires et invectives portant sur la politique énergétique française sont hors sujet ! Que ces gens écrivent au Premier ministre ou au Président de la République pour ce dont ils ont la charge, à l'ASN pour ce qui est la sienne (il est vrai que le Premier ministre ou l'Elysée n'ont pas encore de blog comme celui-ci)... plutôt que de parasiter une consultation précise sur un texte précis. Et même les antinucléaires devraient les premiers chercher à voir encadrer strictement les centrales, et chercher à influencer cet encadrement, non ?
Pourquoi les messages hors-sujet ne sont-ils pas supprimés pour tirer le niveau vers le haut ? Pourquoi au moins, le contour de la consultation n'est-il pas précisément et courtoisement rappelé, avec une description du rôle de l'ASN, en réponse à chaque message hors sujet ?
18/01/2014 02:01
NON AU NUCLEAIRE
ENCORE NON ET NON AU NUCLEAIRE. IL EST IMPENSABLE que les gouvernements et les lobbies du nucléaires ne comprennent pas que la population en ont assez de ces divagations , ces visions du monde qui datent d'un autre âge, ; avec tout l'argent dépensé dans ce secteur depuis près de 50 ans, on aurait pu nous permettre d'habiter dans des maisons autonomes en énergies, nous pourrions avoir aujourd'hui des usines marémotrices, des éoliennes à la pointe du progrès, utiliser l'énergie solaire... bref profiter d'une énergie bien plus propre qui n'engage pas la survie pour les populations à venir. Au lieu de cela, avec vos projets complètement fous, vous vous obstinez à continuer la destruction de notre planète, avec tous ces déchets qui nous polluent la mer, les rivières, l'air... et tous les êtres vivants de cette TERRE, sans compter l'immaturité pour engager l'avenir sur des millions et des millions d'années avec tous ces déchets du nucléaire que vous ne savez toujours pas traiter.
S'il vous plait, messieurs le biens pensants, abstenez-vous d'agraver la situation de la planète et de ses habitants, ARRETEZ LE JEU DE MASSACRE, ARRETEZ TOUT !!!!!
A quand un référendum sur un sujet aussi important qui engage, qui engage la population dont vous avez la charge. Merci de la respecter
S'il vous plait, messieurs le biens pensants, abstenez-vous d'agraver la situation de la planète et de ses habitants, ARRETEZ LE JEU DE MASSACRE, ARRETEZ TOUT !!!!!
A quand un référendum sur un sujet aussi important qui engage, qui engage la population dont vous avez la charge. Merci de la respecter
18/01/2014 02:01
puissance résiduelle d'un réacteur à l'arrêt
Lorsqu'un réacteur est arrêté en urgence, il y a une puissance résiduelle à apporter du fait de la présence des produits de fission à vie courte.
Cette puissance dépend du taux d'irradiation, des caractéristiques des combustibles du réacteur etc.
Il me semblerait souhaitable de préciser comment évolue cette puissance résiduelle à éliminer dans le temps et selon les divers caractéristiques.
A Fukushima Daichi, cette puissance résiduelle dans les réacteurs et piscines a généré des émissions radioactives du fait de l'absence de refroidissement dû à la défaillances des pompes de circulation d'eau et de la perte de l'alimentation électrique.
Cette puissance dépend du taux d'irradiation, des caractéristiques des combustibles du réacteur etc.
Il me semblerait souhaitable de préciser comment évolue cette puissance résiduelle à éliminer dans le temps et selon les divers caractéristiques.
A Fukushima Daichi, cette puissance résiduelle dans les réacteurs et piscines a généré des émissions radioactives du fait de l'absence de refroidissement dû à la défaillances des pompes de circulation d'eau et de la perte de l'alimentation électrique.
18/01/2014 02:01
réglementations françaises et étrangères
Il me semblerait judicieux que l'ASN établisse une comparaison des diverses réglementation imposées aux INB.
Parfois les médias indiquent que tel ou tel pays a une réglementation plus "laxiste" sans en dire plus, celle de la France étant souvent considérée comme une des plus sévère.
Une comparaison impartiale basée sur des faits me paraît souhaitable.
Parfois les médias indiquent que tel ou tel pays a une réglementation plus "laxiste" sans en dire plus, celle de la France étant souvent considérée comme une des plus sévère.
Une comparaison impartiale basée sur des faits me paraît souhaitable.
18/01/2014 02:01
cout des énergies
Bonjour,
En janvier 2012, la Cour des Compte a fait un travail remarquable concernant l'analyse des coûts de la production d'énergie nucléaire.
Cependant, il me semble qu'un travail similaire serait judicieux pour l'analyse des coûts des autres formes de production d'énergie.
En janvier 2012, la Cour des Compte a fait un travail remarquable concernant l'analyse des coûts de la production d'énergie nucléaire.
Cependant, il me semble qu'un travail similaire serait judicieux pour l'analyse des coûts des autres formes de production d'énergie.
18/01/2014 02:01
Travailler ensemble pour la transparence
Il se confirme que votre volonté de transparence entraîne un déchainement d’avis et des réactions sans lien avec votre demande. Nous avons depuis longtemps averti que sans un minimum de connaissance technique du terrain, il est illusoire d’espérer des avis éclairés. Ce point a été abordé sous les anciennes Présidences (ASN et Etat) Cette particularité « émotionnelle » du débat sur le nucléaire ne date pas d’aujourd’hui. Elle est constante par vagues successives en corrélation temporelle avec des élections ou des événements accidentels.
Il est évident que les critères d’appréciation des experts seront modifiés après Fukushima comme ils l’ont été très partiellement après TMI et Tchernobyl. Pour mémoire ces mêmes experts considéraient que l’exploitant Japonais était le meilleur du monde (Au siècle dernier). Chaque filières, chaque réacteur à ses particularités (Exemple : CPY c’est quoi ? Fessenheim, Bugey 2,3 ou 4,5, CP1 ou CP2, bord de mer, fleuves ou aéroréfrigérants et de quel type ; Lequel ?) Globaliser les analyses ou les EPS n’a aucun sens physique. Dès les années 76 nous demandions une activité spécifique dédiée au retour d’expérience ce qui a été partiellement réalisé par les GT RCN, I, A, H, U, incendie et les ingénieries mais bien plus tard. Si vous souhaitez un avis pertinent, en réseau (pourquoi pas), lorsque vous déclarez un incident sur votre site il conviendrait après la description tout public de mentionner « l’état standard tel que défini dans les STE et les indisponibilités génériques, fortuites ou programmées présentes«. Combien d’événements précurseurs ont été négligé faute d’une analyse fine de deuxième niveau ? Maintenant, sous la pression, on tente de tout résoudre mais comme écrit en 2000 toute modification nécessite un temps d’assimilation avant d’être appliquée que ce soit dans le domaine technique ou réglementaire.
Dans les ECS pos-Fukushima (lettre de cadrage Ministérielle) des éléments importants pour la sûreté ont été écartés car ne relevant pas de vos prérogatives mais si vous ne travaillez pas plus, en toute transparence, avec les décideurs de l’aménagement du territoire (Les politiques, les Directeurs des DREAL, Directeurs délégués des ASN locales et l’Autorité Environnementale) nous continuerons à « taper dans le vide » à coût de Milliards.
Bon courage.
Il est évident que les critères d’appréciation des experts seront modifiés après Fukushima comme ils l’ont été très partiellement après TMI et Tchernobyl. Pour mémoire ces mêmes experts considéraient que l’exploitant Japonais était le meilleur du monde (Au siècle dernier). Chaque filières, chaque réacteur à ses particularités (Exemple : CPY c’est quoi ? Fessenheim, Bugey 2,3 ou 4,5, CP1 ou CP2, bord de mer, fleuves ou aéroréfrigérants et de quel type ; Lequel ?) Globaliser les analyses ou les EPS n’a aucun sens physique. Dès les années 76 nous demandions une activité spécifique dédiée au retour d’expérience ce qui a été partiellement réalisé par les GT RCN, I, A, H, U, incendie et les ingénieries mais bien plus tard. Si vous souhaitez un avis pertinent, en réseau (pourquoi pas), lorsque vous déclarez un incident sur votre site il conviendrait après la description tout public de mentionner « l’état standard tel que défini dans les STE et les indisponibilités génériques, fortuites ou programmées présentes«. Combien d’événements précurseurs ont été négligé faute d’une analyse fine de deuxième niveau ? Maintenant, sous la pression, on tente de tout résoudre mais comme écrit en 2000 toute modification nécessite un temps d’assimilation avant d’être appliquée que ce soit dans le domaine technique ou réglementaire.
Dans les ECS pos-Fukushima (lettre de cadrage Ministérielle) des éléments importants pour la sûreté ont été écartés car ne relevant pas de vos prérogatives mais si vous ne travaillez pas plus, en toute transparence, avec les décideurs de l’aménagement du territoire (Les politiques, les Directeurs des DREAL, Directeurs délégués des ASN locales et l’Autorité Environnementale) nous continuerons à « taper dans le vide » à coût de Milliards.
Bon courage.
18/01/2014 02:01
Choix d'énergie
Pourquoi ne compare t'on pas les inconvénients de toutes les énergies?
Exemple: en Allemagne, pays réputé VERT, l'utilisation du charbon pour produire de l'électricité 40% provoque environ 18000 décés par an, sans parler des rejets de CO2 qui dérégle le climat et rendra bientôt la terre inhabitable.
Il faut comparer les différentes sources d'énergie en ce qu'elles peuvent apporter, coûter ou impacter notre santé ou notre climat.
Les ENR ne peuvent pas répondre à tous nos besoins (transport, bâtiment, industrie) car il faut adapter la production d'électricité à la consommation et ces énergies ont des variations brutales et non planifiables.
Il faudra passer par un MIX énergétique, et à moins de se passer d'électricité, le nucléaire reste un choix maîtrisé, économique, améliorable, sans historique d'accident, sans conséquences sanitaires et avec des emplois en France. C'est aussi une énergie compétitive et sans CO2.
Faisons cette comparaison pour toutes les énergies et c'est seulement aprés que le choix pourra être fait. Partir sur un refus a priori du nucléaire renvoiera la France au rang de pays sous développé car les conséquences sur le chomage seront désastreuses.
Exemple: en Allemagne, pays réputé VERT, l'utilisation du charbon pour produire de l'électricité 40% provoque environ 18000 décés par an, sans parler des rejets de CO2 qui dérégle le climat et rendra bientôt la terre inhabitable.
Il faut comparer les différentes sources d'énergie en ce qu'elles peuvent apporter, coûter ou impacter notre santé ou notre climat.
Les ENR ne peuvent pas répondre à tous nos besoins (transport, bâtiment, industrie) car il faut adapter la production d'électricité à la consommation et ces énergies ont des variations brutales et non planifiables.
Il faudra passer par un MIX énergétique, et à moins de se passer d'électricité, le nucléaire reste un choix maîtrisé, économique, améliorable, sans historique d'accident, sans conséquences sanitaires et avec des emplois en France. C'est aussi une énergie compétitive et sans CO2.
Faisons cette comparaison pour toutes les énergies et c'est seulement aprés que le choix pourra être fait. Partir sur un refus a priori du nucléaire renvoiera la France au rang de pays sous développé car les conséquences sur le chomage seront désastreuses.
18/01/2014 02:01
démocratie
Bonjour,
le vrai problème de la France est qu'il y a un manque de démocratie total en ce qui concerne les grands choix énergétiques. Il faudrait véritablement des référendums locaux pour chaque projet de nouvelle centrale et un référendum général comme en Italie pour la poursuite ou non du nucléaire.
Un tel référendum permettrait à tous les points de vue de s'exprimer préalablement et cela permettrait un vrai débat public qui n'a jamais eu lieu.
Une consultation c'est sympa mais je ne vois pas vraiment comment on peut en faire un synthèse utile.
le vrai problème de la France est qu'il y a un manque de démocratie total en ce qui concerne les grands choix énergétiques. Il faudrait véritablement des référendums locaux pour chaque projet de nouvelle centrale et un référendum général comme en Italie pour la poursuite ou non du nucléaire.
Un tel référendum permettrait à tous les points de vue de s'exprimer préalablement et cela permettrait un vrai débat public qui n'a jamais eu lieu.
Une consultation c'est sympa mais je ne vois pas vraiment comment on peut en faire un synthèse utile.
18/01/2014 02:01
Le Nobel pour le professeur Basdevant
Je trouve que l'on devrait récompenser d'un prix Nobel le Pr Basdevant. On a en France des centaines voir des milliers d'ingénieurs (formés par ce professeur à l'X) qui travaillent à l'ASN à l'IRSN ou à EDF pour garantir la sureté des installations.
Lui tout seul au fond de son bureau il découvre que tout cela est faux. Il est vraiment très fort.
Trêve de plaisanterie il faut respecter et soutenir notre ASN qui est maintenant réellement indépendante et arrêter ces légèretés.
Lui tout seul au fond de son bureau il découvre que tout cela est faux. Il est vraiment très fort.
Trêve de plaisanterie il faut respecter et soutenir notre ASN qui est maintenant réellement indépendante et arrêter ces légèretés.
Sommaire de la consultation
- Introduction
- Modalités de la consultation
- Documents à consulter
- Les contributions des internautes
- Que permet le module de participation du public ?
- Quelles sont ses fonctionnalités ?
- Pourquoi créer un compte sur le site de l'ASN ?
- Confidentialité
Date de la dernière mise à jour : 10/09/2014