A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale d’Orléans de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2019 en région Centre-Val de Loire.
Les réacteurs nucléaires de « première génération » d’EDF de type « uranium naturel-graphite gaz » (UNGG) ont été arrêtés entre 1973 et 1994. Le combustible, qui représentait la quasi-totalité du risque, a été évacué. Les installations n’ont été que partiellement démantelées.
A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale d’Orléans de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2018 en région Centre-Val de Loire.
Le 30 juin 2017, le collège de l’ASN a auditionné EDF sur sa nouvelle stratégie de démantèlement des réacteurs de type « uranium naturel graphite-gaz » (UNGG) définie en 2016.
Du 18 au 22 mars 2013, onze inspecteurs de l’ASN ont réalisé une inspection de revue conduite par l’ASN sur le thème du démantèlement. Cet examen approfondi a concerné certaines installations des sites de Chinon A et de Saint-Laurent A ; il a eu lieu dans un contexte global d’opérations de démantèlement qui concernent les réacteurs de première génération d’EDF.
Les exploitants EDF (pour ses installations en démantèlement), le CEA, Areva/FBFC, Iter Organisation et Cis bio International ont remis, pour le 15 septembre 2012, conformément au calendrier des ECS, leurs rapports pour 22 installations nucléaires jugées moins prioritaires par l’ASN. Cette démarche s’inscrit dans la continuité de celle engagée en 2011 pour les 79 installations jugées les plus prioritaires.